 | Louis Domairon - 1822 - 466 pagina’s
...phrases selon ces mêmes lois. Ne reprochons donc point trop de sévérité bBoilcau, lorsqu'il dit : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin , Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain (*). Convenons cependant avec les grammairiens, même les plus... | |
 | Joseph Planche - 1822 - 760 pagina’s
...APPARTIENNENT AU LANGAGE VULGAIRE. PAR J. PLANCHE, VROFESSEUft DE RHÉTORIQUE AU COLLÈGE HOYAL DE BOURBON. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse, un méchant écrirait!. F- P. LIBRAIRIE DE GIDE FILS, RUE SAINT MARC-FEYDEAU ,... | |
 | Charles Pierre Girault-Duvivier - 1822 - 734 pagina’s
...que , bien que , mais quoi construit avec que et séparé de ce mot , signifie quelque chose que : Sans la langue , en un mot, l'auteur le plus divin (*) Est toujours, quoi i/K'il fasse , un méchant écrivain. (Boileau, Art Poét. eu. I.) Souvenez-vous , quoi que le... | |
 | Joseph Planche - 1822 - 792 pagina’s
...AU LAKGAGE VULGAIRE. PAR J. PLANCHE, PROFESSEUR DE RHÉTORIQUE . АО COLLÈGE HOY AL DE BOuRBOîf. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il faut, un méchant ¿crvrain. BOIUAV. S-,, . , '-._* v*.»— lif 'PARIS. LIBRAIRIE DE GIDE... | |
 | Joseph Planche - 1822 - 766 pagina’s
...APPARTIENNE! AU LANGAGE VULGAIRE. PAR J. PLANCHE, PROPCSSBXJR DE RHÉTORIQUE AU COLLÈGE ROYAL DE BOURBOX. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fa»8e, un méchant écrivain. BOIUAV. FP. IS. LIBRAIRIE DE GIDE FILS, r VELE , ». f. ,... | |
 | Nicolas Boileau-Despréaux - 1823 - 394 pagina’s
...impropre , ou le tour vicieux : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme* Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse ' s Et... | |
 | Georgio Wagemann - 1824 - 794 pagina’s
...sacrée. Envain vous me frappez d'un SOD mélorlieux , Si le terme est impropre, ou le tour vicieux..... Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoiqu'il fass«1 , un méchant écrivain. Quae explicatione non indigent} quippe liber in quo illa desideraretur... | |
 | Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie - 1886 - 548 pagina’s
...avec Boileau : En vain vous me frappez d'un son mélodieux Si le terme est impropre et le tour vicieux Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. XXIII • Voici enfin, Messieurs,» le Poème de la Vierge,... | |
 | Voltaire - 1826 - 540 pagina’s
...très grande raisen de dire : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme , Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un mauvais écrivain. Je pense qu'il n'ya aucun bon vers , même avec la construction... | |
 | Voltaire - 1826 - 510 pagina’s
...fautes contre la langue sont pardonnables à Corneille. Boileau a dit, et répétons encore après lui : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. Cela est vrai pour quiconque est venu après Corneille, mais... | |
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Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. 
