 | Jacques-Joseph-Antoine Hécart - 1826 - 150 pagina’s
...; mais ne connaissant pas assez les finesses de la langue pour rendre ses productions durables. « Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin » Est toujours , quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. » Et Campion était bien éloigne d'être un auteur divin.... | |
 | Voltaire - 1827 - 486 pagina’s
...mais même des prosateurs : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme . Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. BOILEAU, Art poétique , chant I. N'oublions pas de dire qu'un... | |
 | Voltaire - 1827 - 726 pagina’s
...étrangères, et surtout des orientales, à moins que vous n'ayez vécu trente ans dans Alep. SECTIoU II. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. BoILEAU , Art poétique. Trois choses sont absolument nécessaires,... | |
 | C A. Delvart - 1828 - 624 pagina’s
...La courte durée de la vie ne peut nous dissuader de ses plaisirs, et nous consoler de ses peines. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin , Est toujours, quoiqu'il fasse, uu méchant e'crivain. . Lequel des deux a tort, ou de celui qui cesse d'aimer ou de celui qui cesse... | |
 | Voltaire - 1828 - 528 pagina’s
...mais même des prosateurs : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme , Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Ch. 1. On peut être sans doute très-ennuyeux en écrivant... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1828 - 438 pagina’s
...impropre , ou le tour vicieux : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours., quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse 1, Et... | |
 | Germain Benoît Joseph Raingo - 1828 - 360 pagina’s
...semblables à nô*us-même. 29. Phis J'offense est grande, et plus le par-- don couvre de gloire. , j ; 30. Sans la langue, en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours , quoiqu'il lasse , un méchant écrivain. 3i. Les peines réelles que la sensibilité cause quelquefois, sont... | |
 | 1828 - 482 pagina’s
...les regardons comme fondées ; on ne saurait , d'ailleurs, se montrer trop sévère à cet égard. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. Si nous comparions maintenant les deux traductions , nous... | |
 | Voltaire - 1829 - 548 pagina’s
...poëtes, mais même des prosateurs : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. BOILEAU , Art poétique, chant I, 159. On peut être sans... | |
 | Voltaire - 1829 - 550 pagina’s
...mais même des prosateurs : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme . Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. BOILEAU, Artpoétlque, chant I, 159. On peut être sans doute... | |
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Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. 
