| Auguste Mariot de Beauvoisin - 1848 - 270 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Postdam à moi. Je suis tranchant peut-être ; Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...résiste. Frédéric un moment par l'humeur emporté : " Parblea ! de ton moulin c'est bien être entêté ; Je suis bon de vouloir t'engager à le vendre... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 406 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours...vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu,... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peutêtre : Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 552 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Postdam , à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes- vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours ne me tenteraient pas. II vous en faut passer , je l'ai dit , j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes-vous jamais ! Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...en passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : «Parbleu!... | |
| François Noel - 1851 - 758 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Postdam, à moi. Je suis tranchant peut-être ' Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...en passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les Rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : « Parbleu... | |
| François Joseph Michel Noël, Auguste Baron - 1852 - 660 pagina’s
...(ils y vient de naître; C'est mon Potsdam, h moi . Je suis tranchant peut être : Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez , mille ducats , Au bout de vos discours...en passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric , un moment par l'humeur emporté : i Parbleu... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet, Louis F Chaumont - 1852 - 338 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'étes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste." Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu... | |
| Abeille - 1852 - 272 pagina’s
...(ils y vient de naître , C'est mon Postdam à moi. Je suis tranchant peut-être . Ne l'êtcs-vous jamais? Tenez, mille ducats , Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. II faut vous en passer, je l'ai dit , je persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1852 - 486 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'étes-vous jamais ! Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas ; II faut vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste.» Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste.... | |
| |