| Edward Hicks Magill - 1870 - 472 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats Au bout de vos discours...vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu... | |
| Alexander Kennedy Isbister - 1870 - 420 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peut-être ; Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas, BB Il faut vous en passer, je l'ai dit, je persiste. Les rois, malaisément, souffrent qu'on leur résiste,... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1873 - 502 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Postdam à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours ne me tenteraient pas. Il vous en faut passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste.... | |
| 1873 - 510 pagina’s
...fils y vient de naître ; C'est mon Postdam à moi. Je suis tranchant peut-êlre : Ne F êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours ne me tenteraient pas. II vous en faut passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste.... | |
| Henriette de Witt - 1873 - 414 pagina’s
...fils y vient de naître ; « C'est mon Potsdam à moi ; je suis têtu peut-être. « Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille ducats « Au bout de vos discours ne me tenteraient pas. « II faut vous en passer; je J'ai dit, je persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur... | |
| Théodore-Henri Barrau - 1875 - 366 pagina’s
...C'est mon Postdam, à moi. Je suis tranchant, peut-être. Ne l'ctes-vous jamais'? Tenez, mille ducals Au bout de vos discours ne me tenteraient pas. Il...en passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste; Frédéric un moment par l'humeur emporté : « Parbleu... | |
| Emil Pfundheller - 1875 - 382 pagina’s
...fils y vient de naître; « C'est mon Potsdam à moi. Je suis têtu peut-être: «Ne l'êtes- vous jamais? Tenez, mille ducats «Au bout de vos discours ne me tenteraient pas. «11 faut vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste.... | |
| French poetry - 1876 - 224 pagina’s
...mon fils y vient de naître; C'est mon Potsdam, à moi. Je suis tranchant peut-être Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats Au bout de vos discours ne me tenteraient pas ; II faut vous en passer ; je l'ai dit, j'y persiste.' Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste.... | |
| Paul Eugène É Barbier - 1877 - 104 pagina’s
...fils y vient de naître. C'est mon Potsdam, à moi, je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...vous en passer, je l'ai dit j'y persiste.'' Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu... | |
| Anecdotes - 1878 - 296 pagina’s
...mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam à moi. Je suis têtu peut-être ; Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats Au bout de vos discours...en passer ; je l'ai dit, j'y persiste. " Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'bumeur emporté : " Voyons... | |
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