Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied d'un arbre vint s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin;... MacMillan's Magazine - Pagina 390geredigeerd door - 1872Volledige weergave - Over dit boek
| 1872 - 720 pagina’s
...luth d'une main, De l'autre un bouquet d'6glantine. II me fit un salut d'ami, Et, se ':»umant a demi, Me montra du doigt la colline." In the poet's...sword; it breathed only one sigh, and disappeared like i dream. In the midst of unholy, wild festivity the shape next showed itself— " A l'ftge ofi Ton... | |
| Henriette de Witt - 1873 - 414 pagina’s
...frère. Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. II me fit un salut d'ami, Et se détournant à demi, Me, montra du doigt la colline. -. A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour Pleurant ma première... | |
| Albert Harrison Mixer - 1874 - 550 pagina’s
...jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied...détournant à demi, Me montra du doigt la colline. Un an après, il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet... | |
| Lambert Sauveur - 1875 - 374 pagina’s
...jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied...détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, i'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
| Lambert Sauveur - 1875 - 372 pagina’s
...s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin : Il tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine....détournant à demi, Me montra du doigt la colline. À l'âge où l'on croit à l'amour, J' étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première... | |
| Alfred de Musset - 1876 - 352 pagina’s
...frère. Je lui demandai mon chemin. II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantinc. II me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
| James Parton - 1877 - 548 pagina’s
...Pensif, avec un doux sourire. 12 LE POETE. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied...détournant à demi, Me montra du doigt la colline. À l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
| Alfred de Musset - 1879 - 340 pagina’s
...frère. Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d'une main, Dp l'autre un bouquet d'églanline. Il me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
| 1882 - 208 pagina’s
...frère. Je lui demandai mon chemin; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. II me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. Un an après, il était nuit; J'étais à genoux près du lit 48 UNE VISION. Où venait de mourir mon... | |
| Alfred de Musset - 1885 - 1048 pagina’s
...frère. Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. 11 uelle A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
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