 | Alfred Bougeart - 1861 - 454 pagina’s
...étrangères, excepté celle du bien public. Dans des circonstances plus diiïiciles, quand l'ennemi était aux portes de Paris, j'ai dit à ceux qui gouvernaient...la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne. Je leur disais : Eh que m'importe ma réputation! que la France soit libre et que mon nom soit flétri!... | |
 | Joseph Guadet - 1861 - 552 pagina’s
...d'appui, et vous n'a» vez pas encore bouleversé le monde!... (Les ap» plaudissements redoublent.) Vous qui me fatiguez » de vos contestations particulières,...vous » occuper du salut de la République, je vous répu» die tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets » tous sur la même ligne.... Et que m'importe... | |
 | Théophile Sébastien Lavallée - 1861 - 636 pagina’s
...l'exaltation populaire. Danton s'indigna de cette lésistance : « Vous, qui me fatiguez, s'écria-t-il, par vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la patrie, je vous répudie tous comme des traîtres. Vos discussions sont misérables ; je ne connais... | |
 | Georges Jacques Danton - 1867 - 346 pagina’s
...étrangères, excepté celle du bien public. Dans des circonstances plus difficiles, quand l'ennemi était aux portes de Paris, j'ai dit à ceux qui gouvernaient...m'importe ma réputation ! que la France soit libre et que mon nom soit flétri ! Que m'importe d'être appelé buveur de sang ! Eh bien, buvons le sang des ennemis... | |
 | Mortimer Ternaux - 1867 - 632 pagina’s
...gouvernaient alors : « Vos discussions « sont misérables; je ne connais que l'ennemi, battons « l'ennemi ! Vous, qui me fatiguez de vos contestations « particulières,...vous occuper du salut de la « République, je vous mets tous sur la même ligne, je « vous répudie tous comme traîtres à la pa'trie. » Je leur ai... | |
 | Charles-Aimé Dauban - 1868 - 710 pagina’s
...gouvernaient alors : Vos discussions sont misérables ; je ne connais que l'ennemi ; battons l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières,...je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Eh ! que m'importe ma réputation? Que la France soit libre, et que mon nom soit flétri !» Et à... | |
 | Alexandre Dumas - 1872 - 324 pagina’s
...gouvernaient alors : « Vos discussions sont misérables ; je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut public, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie : je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Alexandre Dumas - 1875 - 648 pagina’s
...gouvernaient alors : « Vos discussions sont misérables; je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut public, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie : je vous mets tous sur la même lighe.... | |
 | Jules Michelet - 1879 - 544 pagina’s
...ceux qui gouvernaient alors : Vos discussions sont misérables; je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi! (Nouveaux applaudissements.) Vous qui me...à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne. » A cette révélation complète de la pensée de Danton, il y eut un soulèvement général d'admiration... | |
 | Théophile Sébastien Lavallée - 1880 - 618 pagina’s
...l'exaltation populaire. Danton s'indigna de cette résistance : « Vous, qui me fatiguez, s'écria-t-il, par vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la patrie, je vous répudie tous comme des traîtres. Vos discussion» sont misérables ; je ne connais... | |
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Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous, comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne. 
