| Maurice Tourneux - 1917 - 750 pages
...chantent dans toutes les mémoires ce son bien ceux-ci : J'aime! — voilà le mot que la nature enlière Crie au vent qui l'emporte, à l'oiseau qui le suit!...la terre Quand elle tombera dans l'éternelle nuit! 1. Musset ne reniait pas ce culte. Le catalogue de sa bibliothèque porte une édition des Meiséniennes... | |
| Maurice Tourneux - 1917 - 732 pages
...chantent dans toutes les mémoires ce son bien ceux-ci : J'aime! — voilà le mot que la nature entière Crie au vent qui l'emporte, à l'oiseau qui le suit!...poussera la terre Quand elle tombera dans l'éternelle nuitl 1. Musset ne reniait pas ce culte. Le catalogue de sa bibliothèque porte uneéditior. des itesséniennet... | |
| Alfred de Musset - 1923 - 528 pages
...une conclusion dantesque, L'amor che move il sole e l'altre stelle, que la métaphysique de RoIIa : Oh! vous le murmurez dans vos sphères sacrées, Etoiles du matin, ce mot triste et charmant 1 La plus faible de vous, quand Dieu vous a créées, A voulu traverser les plaines éthérées Pour... | |
| Isaac Goldberg - 1922 - 334 pages
...Musset's "Rolla": J'aime! — voila le mot que la nature entiere Crie au vent qui 1'emporte, a 1'oiseau qui le suit! Sombre et dernier soupir que poussera la terre Quand elle tombera dans 1'eternelle nuit! Bilac's passion at its height may replace the Creator of life himself; thus, in A... | |
| Alfred de Musset - 1923 - 436 pages
...dorée; Tu peux m'épanouir et me briser le cœur. » J'aime! — voilà le mot que la nature entière Crie au vent qui l'emporte, à l'oiseau qui le suit!....Etoiles du matin, ce mot triste et charmant! La plus faible de vous, quand Dieu vous a créées, A voulu traverser les plaines éthérées, Pour chercher... | |
| Alcuin Miliait - 1923 - 640 pages
...J'aime, voilà le mol que la nature entière Crie au vent qui l'emporte, à l'oiseau qui le suit... Oh ! vous le murmurez dans vos sphères sacrées, Etoiles du matin ce mol triste et charmant. La plus faible de vous, quand Dieu vous a créées, A voulu traverser les plaines... | |
| 1890 - 854 pages
...vers d'un gracieux poète : J'aime! voilà le mot que la nature entièie Crie au veut qui l'empurte, à l'oiseau qui le suit! Sombre et dernier soupir...nuit. Oh! vous le murmurez dans vos sphères sacrées, Étoiles du matin, ce mot triste et charmant! La plue faible de vous, quand Dieu vous a creces, A voulu... | |
| Marcel Braunschvig - 1926 - 864 pages
...Rolla, où la même idée se trouve déjà reprise : J'aime ! — Voilà le mot que la nature entière Crie au vent qui l'emporte, à l'oiseau qui le suit...Oh ! vous le murmurez dans vos sphères sacrées, Étoiles du matin, ce mot triste et charmant! La plus faible de vous, quand Dieu vous a créées, A... | |
| Edmond Eggli - 1927 - 682 pages
...J'aime! voilà le mot que la nature entière Crie au vent qui l'emporte, à l'oiseau qui le suit!... Oh! vous le murmurez dans vos sphères sacrées. Etoiles du matin, ce mot triste et charmant!... (Rolla). Peut-être aussi 1 la pièce posthume de Musset, intitulée Rêverie* est-elle une réminiscence... | |
| Charles Maurras - 1927 - 80 pages
...farandole de baisers jamais saoule.... Cela fait un petit pendant à l'amoureuse cosmologie de Musset : Oh ! vous le murmurez dans vos sphères sacrées, Etoiles du matin, ce mot triste et charmant.... Seulement dans Aubanel, le dernier de ces baisers terrestres, c'est la Mort qui le donne à la Terre.... | |
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