| Jean Joinville (sire de), Ambroise Firmin-Didot, Paulin Paris - 1859 - 580 pagina’s
...chevaux furent embarqués et comment les prières furent chantées à bord de son navire, il nous dit : o Aussitôt le vent se ferit dans les voiles et nous...en plus des pays où nous étions nés. Est « bien foi hardi , ajoute-t-il , celui qui s'ose mettre en « tel péril avec le bien d' autrui ou en péché... | |
| 1868 - 1038 pagina’s
...temps le vent frappa sur les voiles et nous eut enlevé la vue de terre, tellement que nous ne vîmes que le ciel et l'eau, et chaque jour le vent nous éloigna des pays où nous étions nés. Et par là je vous montre que celui-là est un fou bien hardi qui s'ose... | |
| Guizot (M., François) - 1873 - 488 pagina’s
...le vent frappa sur les voiles et nous eut enlevé la vue de la terre, tellement que nous ne vîmes que le ciel et l'eau; et chaque jour le vent nous éloigna des pays où nous étions nés. Et par là je vous montre que celui-là est un fou bien hardi qui s'ose... | |
| Académie des inscriptions & belles-lettres (France) - 1873 - 624 pagina’s
...le vent frappa sur les voiles et nous eut enlevé la vue de la terre, tellement que nous ne vîmes que le ciel et l'eau; et chaque jour le vent nous éloigna des pays où nous élions nés. Et par là je vous montre que celui - là est un fou bien hardi qui... | |
| Désiré Nisard - 1878 - 438 pagina’s
...temps, le vent frappa dans les voiles, et nous enleva si bien la vne de la terre qne nous ne vîmes que le ciel et l'eau : et chaque jour le vent nous éloigna du pays où nous étions nés : et par là vous fais-je voir que celui-là est bien fou hardi qui s'ose... | |
| Désiré Nisard - 1880 - 476 pagina’s
...temps, le vent frappa dans les Voiles, et nous enleva si bien la vue de la terre que nous ne vîmes que le ciel et l'eau ; et chaque jour le vent nous éloigna du pays où nous étions nés : et par là vous fais-je voir que celui-là est bien fou hardi qui s'ose... | |
| A. Chauvin, Georges Le Bidois - 1891 - 506 pagina’s
...ainsi firent. Et en bref temps le vent donna dans la voile et nous ôta la vue de la terre, si bien que nous ne vîmes plus que le ciel et l'eau ; et chaque jour nous éloignait le vent des pays où nous étions nés. Et ces choses vous montrai-je parce que celui-là... | |
| Louis Petit de Julleville - 1891 - 284 pagina’s
...peu de temps, le vent enfla les voiles et nous ôta la vue de la terre, si bien que nous ne vîmes que le ciel et l'eau; et chaque jour le vent nous éloigna davantage des pays où nous étions nés. Et, par ces choses, je vous montre que celui-là est bien... | |
| Gustave Carré - 1894 - 648 pagina’s
...le firent. Et en peu de temps le vent se férit en la voile et nous ôta la vue de la terre, si bien que nous ne vîmes plus que le ciel et l'eau ; et chaque jour le vent nous éloigna des pays où nous étions nés. Et par ces choses vous montré-je que celui-là est bien fol et hardi... | |
| Louis Petit de Julleville - 1899 - 306 pagina’s
...peu de temps, le vent enfla les voiles et nous ôta la vue de la terre, si bien que nous ne vîmes que le ciel et l'eau ; et chaque jour le vent nous éloigna davantage des pays où nous étions nés. Et, par ces choses, je vous montre que celui-là est bien... | |
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