| 1836 - 432 pagina’s
...embrasser la Mort; Mol je pleure et j'espère. Au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein, D'une prison sur moi les... | |
| François Noel - 1840 - 652 pagina’s
...embrasser la mort, Moi, je pleure et j'espère ; au noir souille du nord, Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein; D'une prison sur moi les... | |
| André Chénier - 1840 - 372 pagina’s
...embrasser la mort , Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du nord Je plie et relève ma tète. S'il est des jours amers , il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi... | |
| René Trédos - 1841 - 582 pagina’s
...embrasser la mort ! Moi je pleure et j'espère : au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête. S'il est des- jours amers il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion féconde habite dans mon sein ; D'une prison sur moi... | |
| A. F. GUILLEREZ - 1842 - 258 pagina’s
...embrasser la mort : Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du nord Je plie et relève la tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ! Quelle mer n'a point de tempête ? - L'illusion féconde habite dans mon sein ; D'une prison sur... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 pagina’s
...embrasser la mort, Moi, je pleure et j'espère; au noir souffle du nord, Je plie et relève ma tête. • S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quel mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les... | |
| 1844 - 180 pagina’s
...l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore. Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûls? Quelle mer n'a point de tempête ? l.'i. — L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 pagina’s
...embrasser la mort, Moi, je pleure et j'espère ; au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion féconde habite dans mon sein ; D'une prison sur moi... | |
| Charles Picot - 1845 - 260 pagina’s
...embrasser la Mort; Moi je pleure et j'espère. Au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi... | |
| Casimir Ladreyt - 1846 - 378 pagina’s
...embrasser la mort, Moi, je pleure et j'espère ; au noir souffle du nord, Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion féconde habite dans mon sein ; D'une prison sur moi... | |
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