| Arthur-Léon Imbert de Saint-Amand - 1885 - 390 pagina’s
...furent rédigés dans son sein! Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte n'a été entendue sur les abus du pouvoir. » Après ces mots calmes et fiers adressés au Sénat, Napoléon termine ainsi son ordre du jour :... | |
| Sophie Cohondet Durand - 1886 - 384 pagina’s
...furent rédigés dans son sein. Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte...reproché, alors le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'it a eu des raisons qui motivaient son mépris. Il tenait sa dignité de Dieu et de la nation ;... | |
| Antoine Guillois - 1889 - 664 pagina’s
...religion. Un signe était un ordre pour le Sénat qui, toujours, faisait plus qu'on ne désirait de lui... Si l'Empereur avait méprisé les hommes comme on le lui a reproché, le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris. » Enfin pour... | |
| Gilbert Stenger - 1910 - 486 pagina’s
...furent rédigés dans son sein. Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte...alors le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a PU des raisons qui motivaient son mépris. Il tenait sa dignité de Dieu et de la nation : eux seuls... | |
| Jules Delhaize - 1912 - 396 pagina’s
...accepter la vie et la liberté de la merci d'un sujet. protégé l'antre contre la haine de la nation... Si l'Empereur avait méprisé les hommes, comme on le lui a reproché, le monde reconnaîtrait qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris... » Le bonheur de la France... | |
| Agathon-Jean-François baron Fain - 1914 - 314 pagina’s
...souverain, ces « hommes sont restés fidèles, et nulle plainte « n'a été entendue sur les abus de pouvoir. Si « l'empereur avait méprisé les hommes, comme « on le lui a reproché, alors le monde recon« naîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui « motivaient son mépris. Il tenait sa dignité... | |
| 1913 - 1490 pagina’s
...désirait de lui. » Et il laisse tomber sur ceux qui l'ont trahi cette suprême flétrissure : « Si l'Empereur avait méprisé les hommes comme on le lui a reproché, le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son .mépris ! » Ceci fait,... | |
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