| Emil Pfundheller - 1875 - 382 pagina’s
...leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr. Pour elles rien...veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné! Songe au fleuve de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine, Combien... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1876 - 250 pagina’s
...» a dit un moraliste, et Ovide l'explique en disant : Multa miser metuo, quia, fcci multa proterve. Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi ! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien e'pargné! (CORNEILLE.) -996Sur le fils d'une mère célèbre, le fils de Mme de Staël, par exemple,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1876 - 232 pagina’s
...moraliste, et Ovide l'explique en disant : Multa miser metuo} quia feci multa proterve. Rentre en toi-mème} Octave, et cesse de te plaindre. Quoi! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné! (CORNEILLE.) Sur le fils d'une mère célèbre, le fils de Mme de Staël, par exemple, ou de Mme de... | |
| Octave Feuillet - 1876 - 412 pagina’s
...Je suis effaré,... je suis consterné,. ..je suis ridicule! Ah! ah! voyons... Rentre en toi-mCme, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné ! Ah çà (n regarde à sa montre.), je vais attendre un quart d'heure, et puis je m'informerai...... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1878 - 584 pagina’s
...leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr. Pour elles rien...Octave, et cesse de te plaindre. Quoi! tu veux qu'on ^épargne, et n'as rien épargnéI Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien... | |
| Victor de Laprade - 1879 - 390 pagina’s
...convertir, (Lisez le grand Corneille) il a le repentir. Écoutez-le plutôt! lui-même il va se peindre: « Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné ! Songe au fleuve de sang où ton bras s'est baigné... Remets dans ton esprit, après tant de carnages, De... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1880 - 592 pagina’s
...leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr. Pour elles rien...Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. Quoil tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné 1 Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est... | |
| Pierre Augustin Pellissier - 1881 - 508 pagina’s
...s'interroge lui-même et se fait la réponse. Ainsi Auguste dans son grand monologue au ive acte de Cinna : Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné. Donc jusqu'à l'oublier je pourrais me contraindre? Non , non, je me trahis moi-même d'y penser. Dans... | |
| Adolphe Regnier - 1883 - 698 pagina’s
...leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr. Pour elles rien...Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. 1130 Quoi? tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné! Songe aux fleuves de sang où ton bras... | |
| C. L. R. - 1883 - 242 pagina’s
...leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamme à chérir Ceux que vous animez à les faire périr. Pour elles rien n'est sûr ; quipeut tout doit tout craindre. Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi ! tu... | |
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