 | Jean François Marmontel - 1891 - 496 pagina’s
...confusion qui me jetèrent dans un désordre inexprimable. Je sens ma tête prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...respirer en marchant, je me laisse tomber sous un arbre de l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation qu'en me relevant j'aperçus... | |
 | Jean François Marmontel - 1891 - 392 pagina’s
...confusion qui me jetèrent dans un désordre inexprimable. Je sens ma tète prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...respirer en marchant, je me laisse tomber sous un arbre de l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation qu'en me relevant j'aperçus... | |
 | Pompeo Molmenti - 1900 - 272 pagina’s
...confusion qui me jeta dans un trouble inexprimable ; je sens ma tète prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...demi-heure dans une telle agitation qu'en me relevant j'apercois tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes sens avoir senti que j'en répandais .... | |
 | Ernest Antoine Aimé Léon Baron Seillière - 1905 - 424 pagina’s
...confusion qui me jetèrent dans un trouble inexprimable. Je me sens la tête prise parunétourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais. O monsieur! si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre, avec quelle... | |
 | Ernest Seillière - 1905 - 422 pagina’s
...confusion qui me jetèrent dans un trouble inexprimable. Je me sens la tète prise parunétourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...me relevant j'aperçus tout le devant de ma veste mouille de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais. 0 monsieur! si j'avais jamaispu écrire... | |
 | Faculté des lettres d'Aix (France). - 1907 - 1056 pagina’s
...tout à coup l'esprit ébloui de mille lumières... ; je sens ma tête prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...de mes larmes sans avoir senti que j'en répandais »). Et le récit des Confessions se termine par ces mots que contrediront les ennemis de Rousseau... | |
 | Faculté des lettres et sciences humaines d'Aix (France) - 1907 - 720 pagina’s
...tout à coup l'esprit ébloui de mille lumières... ; je sens ma tète prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...de mes larmes sans avoir senti que j'en répandais »). Et le récit des Confessions se termine par ces mots que contrediront les ennemis de Rousseau... | |
 | Ernest Seillière - 1907 - 354 pagina’s
...confusion qui me jeta dans un (rouble inexprimable; je sens ma tète prise par un étour«liftsemcnt semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...en marchant, je me laisse tomber sous un des arbres ile l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle «{Iitation qu'en me relevant, j'aperçus... | |
 | Ernest Seillière - 1907 - 454 pagina’s
...une confusion qui me jeta dans un trouble inexprimable; je sens ma tête prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...poitrine; ne pouvant plus respirer en marchant, je rnc laisse tomber sous un des arbres de l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation... | |
 | Louis Ducros - 1908 - 448 pagina’s
...tout à coup l'esprit ébloui de mille lumières... ; je sens ma tête prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse,...de mes larmes sans avoir senti que j'en répandais »). Et le récit des Confessions se termine par ces mots que contrediront les ennemis de Rousseau... | |
| |
... tout à coup je me sens l'esprit ébloui de mille lumières; des foules d'idées vives s'y présentent à la fois avec une force et une confusion qui me jeta dans un trouble inexprimable; je sens ma tête prise par un étourdissement semblable à... 
