Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés. Revue universelle, bibliothèque de l'homme du monde et de l'homme politique ... - Page 206 Affichage du livre entier -
|