| Joseph Eugène Bonnemère - 1856 - 528 pages
...des idiots, c'est quelque chose d'innommé qui tient beaucoup plus de la bête que de l'homme : « On voit certains animaux farouches, des mâles et des...livides, et tout brûlés par le soleil, attachés à la terre, qu'ils fouillent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand... | |
| France. Commission française sur l'industrie des nations - 1856 - 1052 pages
...La Bruyère pouvait écrire, sans qu'on se révoltât alors des sombres couleurs de son tableau : « L'on « voit certains animaux farouches, des mâles...répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du «soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent « avec une opiniâtreté invincible... | |
| Armand Guérand - 1856 - 832 pages
...bordure au portrait célèbre que La Bruyère traçait vers le môme temps des paysans français : « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne... Ils se retirent la nuit dans des tanières, ou ils vivent de pain noir, d'eau et de racines : ils épargnent... | |
| 1856 - 788 pages
...bordure au portrait célèbre que La Bruyère traçait vers le même temps des paysans français : u L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne... Ils se retirent la nuit dans des tanières, oii ils vivent de pain noir, d'eau et de racines : ils... | |
| 1856 - 782 pages
...bordure au portrait célèbre que La Bruyère traçait vers le même temps dos paysans français : « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne... Us se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines -. ils... | |
| 1857 - 812 pages
...familières avec notre sujet ne sont pas sans avoir lu le passage de la Bruyère si souvent cité : « L'on voit certains « animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la cam« pagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils « fouillent et... | |
| 1859 - 1038 pages
...de revoir cette patrie qu'ils ont tant aimée, quel ne serait pas leur étonnementl Où sont « ces animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible?... | |
| Ernest Moret - 1859 - 464 pages
...officiels de l'époque, on comprend ces lignes de La Bruyère, dont la cruelle ironie serre le cœur: « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par les campagnes, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et... | |
| Ernest Moret - 1859 - 442 pages
...officiels de l'époque, on comprend ces lignes de La Bruyère, dont la cruelle ironie serre le cœur: « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par les campagnes, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et... | |
| 1861 - 966 pages
...que la question n'est point neuve, il suffit de rappeler les paroles si connues de La Bruyère : « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et...répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible;... | |
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