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OBSERVATOIRE ROYAL DE BRUXELLES.

EXTRÊMES de la

température centigr.

à midi.

Maximum. Minimum

QUANTITÉ

d'eau recueil.

a midi

en millim.

VENTS

DOMINANTS.

ÉTAT DU CIEL

OU ASPECT GÉNÉRAL DE LA JOURNÉE.

Nuag; orage et pl. l'ap.- m.; beau ciel de 8 à 10 3/4 h. Nuageux: pluie dans la matinée. [du soir.

Inc.; pluie par intervalles; orage l'après-midi.
Très-nuageux; pluie à différentes reprises.
Nuag., inc.; un peu de pl. le m. et vers 2 h. de l'ap.-m.
Nuag., inc.; un peu de pluie le mat.; beau le soir,
Très-beau.

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60.69

19,6

22,8

12,1

NO.-E.

Id.

7

60,79

20.9

24,4

13,7

ESE.

Id.

9

60,20

22,4

24,9

15,1

ENE.

Id.

59,75

22,3

27.1

16,4

NE.

57.78

25,0

28,3

17.9

E.

Beau et chaud le matin; vers 3 h. de l'apr.- m., orag.
Beau et chaud; orageux le soir.

56.36

24.3

30,8

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56.65

23,3

29,4

18,7

D

E.

55.80

26.3

29,4

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55.44

27.7

30,1

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ESE.
SE.-E.

Beau le mat.; tonn. loint. et nuages orag. l'apr.-m.
Superbe, chaud.

56.32

25,3

31.1

19,9

80.

58,20

23.1

29,8

18,2

24,10

SO.

Très-beau le mat.; ens. nuag., temps lourd,
Beau et chaud le mat.; viol. orage l'après-midi.
Très-beau; brouillard le matin.

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57,43

23,9

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59.52

21.7

26,8

16,7

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E.-N.

Beau, mais nuag. le mat. et une partie de l'apr.-m.
Superbe.

12

12

59,03

24,7

26,4

17,3

SO.

Superbe, chaud.

15

57,67

26.1

29,1

19,4

ESE.

Id.

13

56,0

27.4

31,7

21,4

5,75

ONO.

Beau le matin : nuageux ensuite.

19

65,51

17.9

27.0

15,4

ENE.

Superbe, frais, vent assez fort.

16

64,16

18.4

23,8

11,4

ENE.

Superbe.

14

56,95

24,4

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Beau, mais orage l'après-midi,

18

53.83

23.9

29,4

19,1

1,90

80.-8

52,16

24,2

26.7

17,9

0,60

NE.-S.

48.64

19,5

26,7

18,2

5,15

80.-ONO.

57,39

17,6

21,1

12.6

0,10

080.

Nuag.; orage vers 11 1/4 h. du mat.; beau le soir. Beau le matin; ensuite ciel orageux.

Nuag., un pou de pluie ; très-beau apr. 10 h, du soir. Superbe.

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31

58,74

18,6

23,2

14,7

1,70

SO.-N.

Pluv.; beau après 3 1/2 h. de l'après-midi.

28 17

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MÉMOIRE sur la flexion forcée et permanente des membres comme moyen d'arrêter les hémorrhagies traumatiques ; par M. le docteur GEORGES VON ADELMANN, correspondant, à Dorpat.

Depuis les temps les plus reculés de la chirurgie jusqu'à nos jours, avant et après la connaissance exacte de la circulation du sang, on n'a jamais méconnu le danger des hémorrhagies. De là les efforts des chirurgiens pour trouver des moyens propres à arrêter la perte du sang, ou du moins la réduire à certaines limites; de là ce précepte dans le pausement des plaies: arrêter avant tout l'hémorrhagie. Ce but a été atteint de différentes manières. Il serait superflu d'énumérer tous les moyens employés à cet effet; ils sont exposés dans tous les traités de chirurgie. Il nous suffira de ranger tous les moyens hémostatiques dans quelques catégories et de rechercher quelle est leur influence sur la prompte guérison des plaies.

Tous les moyens hémostatiques peuvent se diviser en trois catégories, savoir: moyens chimiques, physiques et mécaniques.

Les hémostatiques chimiques, depuis l'eau froide jusqu'au fer rouge, ont pour but de coaguler le sang dans les petits et les grands vaisseaux, pour obturer leur canal. Les plus faibles d'entre eux atteignent ce but seulement dans des hémorrhagies parenchymateuses légères en retardant le flux du sang et en thrombosant par l'abaissement de température qu'ils déterminent. Ils ne portent aucune atteinte nuisible aux tissus environnants, et par conséquent ne compromettent pas la guérison des plaies. Les hémostatiques les plus forts, au contraire, non-seulement produisent la coagulation de la

fibrine du sang, mais ils irritent et détruisent les tissus et déterminent la formation d'une eschare, d'où il suit qu'une simple plaie se complique de brûlure. Après l'application de ces hémostatiques, au lieu d'une réunion par première intention, la cicatrisation ne s'obtient qu'à la suite d'une suppuration plus ou moins abondante. En outre, la coagulation ne s'obtient pas toujours par les moyens chimiques, leur effet n'étant pas constant. Pour preuve de ce que j'avance, il suffit de se rappeler que le grand nombre de composés hémostatiques qui ont été inventés ont la plupart dû être abandonnés, si nous en exceptons le sesquichlorure de fer, qui a encore cependant l'inconvénient de produire une eschare, ce qui fait grand tort à ses éminentes propriétés.

Des milliers d'expériences prouvent qu'après la chute de l'eschare, les hémorrhagies se renouvellent. Qu'on n'induise cependant pas de mon jugement que je veuille exclure de la pratique l'application des moyens chimiques. Ils sont acquis à la science et leur emploi est sanctionné par la nécessité d'arrêter momentanément une hémorrhagie. Nous ne blâmons pas le cocher quand il applique sa propre urine ou celle de ses chevaux sur une plaie faite par armes tranchantes, ni le menuisier quand il couvre sa plaie avec de la colle, parce qu'ils manquent de moyens plus convenables. L'emploi des hémostatiques chimiques dans les hémorrhagies capillaires est justifié par la nécessité du moment; ils sont insuffisants contre les hémorrhagies des grands vaisseaux, parce que, en certaines circonstances, ils peuvent causer la gan grène, comme cela est prouvé par les expériences physiologiques sur les animaux, et, hélas! par maintes observations failes sur l'homme.

Parmi les hémostatiques physico-chimiques nous comprenons l'acupuncture, la galvano-puncture et le passage des fils à travers la lumière d'un vaisseau. Or, ces moyens sont peu applicables dans les hémorrhagies traumatiques, pour des raisons que chaque médecin praticien comprend facilement et que nous croyons inutile de rappeler ici.

La troisième catégorie comprend les hémostatiques mécaniques: la compression, la ligature à plaie ouverte, tantôt sur le bout de l'artère, tantôt dans sa continuité, la ligature souscutanée de Tavignot, la ligature percutanée de Middeldopf, l'entrelacement du bout de Stilling, la torsion, le massage et la mâchure ainsi que l'enveloppement de l'artère lésée par un feuillet de staniole ou par un tuyau de plume fendu, et enfin par l'acupressure.

La compression est un moyen indispensable, mais elle demande ou un aide intelligent ou des instruments qui ne se trouvent pas toujours sous la main.

La compression par la main demande, outre la connaissance exacte de la situation anatomique de l'artère, une persévérance à laquelle peu d'hommes ont l'aptitude. C'est par cette raison que la compression manuelle se recommande seulement dans les hôpitaux et dans une clientelle soignée. Quoi qu'elle ait eu des succès brillants dans la cure des anévrysmes, elle n'a pas encore été adoptée pour arrêter définitivement les hémorrhagies artérielles traumatiques, parce que les circonstances extérieures ne lui sont pas favorables.

La compression par des appareils se fait encore, malheureusement le plus souvent, par le tourniquet circulaire. C'est un excellent appareil lorsqu'il est employé momentanément, mais appliqué pendant un temps plus long il cause

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