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dans l'etat des choses, celles de Schaffhouse et d'Engen étaient préférables, puisqu'en cas d'échec, on pouvait atteindre le Rhin en une seule marche et opérer la jonction avec l'armée d'Helvétie.

L'éloignement des colonnes françaises du champ de bataille, laissa l'honneur des premiers coups de la journée aux Autrichiens. Meerfeld, aux termes de ses instructions, s'était déjà emparé, à 5 heures, d'Emingen-ob-Eck, lorsque l'apparition des colonnes de Soult le força à jeter une partie de ses troupes dans le bois qui sépare ce village de celui de Liptingen, pour couvrir sa retraite. Mais le général Mortier qui venait de reprendre Emingen avec la 25°, gagna par le bois la gauche des Impériaux, pendant que Soult avec 6 bataillons et 4 régiments de cavalerie, débouchait sur la route et refoulait l'ennemi devant lui. Cette attaque fut si vigoureuse que Meerfeld ne put tenir à Liptingen; ses troupes rompues se réfugièrent en désordre dans les bois qui bordent la route de Stockach. Deux bataillons et 3 escadrons seulement résistè

rent un instant à l'entrée de la forêt du Grauholz, dont ils furent bientôt chassés : l'infanterie gagna Stockach, et la cavalerie se jeta sur la route de Moskirch pour couvrir les derrières.

Pendant que l'avant-garde française obtenait ces avantages, l'aile gauche, sous les ordres de SaintCyr, débouchait sur trois colonnes de Tuttlingen, de Mulheim et de Friedingen. Les deux dernières, commandées par les généraux Vandamme et Walther, culbutèrent l'ennemi et vinrent se former devant Neuhausen-ob-Eck, où la brigade Legrand ne tarda pas à les joindre.

qu'un moyen : la presque impossibilité de forcer le centre au Nellenberg indiquait qu'il fallait se jeter en masse ou sur la droite ou sur la gauche des Impériaux; l'attaque de cette dernière convenait mieux pour se lier avec Masséna, car l'inconvénient de longer entre Wahlwies et le lac de Constance eût été atténué par la facilité qu'offrait la presqu'île de Petershausen pour la retraite. Mais l'affaire étant déjà engagée dans une autre direction, il ne restait qu'à tenter un effort par ia gauche contre la droite de l'archiduc; manœuvre d'autant plus naturelle que le gros de l'armée se trouvait plus à portée de ce point, et que l'avantage déjà obtenu sur Meerfeld y promettait des succès certains. Jourdan aurait dû diriger à l'instant même Souham, Soult, Saint-Cyr et Vandamme sur Raithaslach, tandis que Férino eût inquiété la gauche des Impériaux.

Cependant l'archiduc, qui dès le matin s'était porté sur la route de Aach pour faire la reconnaissance projetée, n'eut pas plutôt appris l'échec essuyé par Meerfeld, que laissant au général Nauendorf le soin d'observer la division Souham qui commençait à se déployer, il partit au galop pour sa droite : au lieu d'y diriger une bonne partie de ses forces, il se fit suivre seulement par 6 bataillons de grenadiers et 12 escadrons de cuirassiers placés en réserve dans la plaine en arrière de Nellenberg. Douze autres escadrons prirent position près de Stockach pour soutenir la retraite en cas d'échec, et 6 furent lancés sous la conduite du prince de Wurtemberg, sur la route de Moskirch, pour contenir les flanqueurs de Vandamme.

Pendant que le prince Charles faisait à la hâte ces dernières dispositions, le comte de Wallis qui commandait son centre, avait prescrit aux 8 bataillons placés en face de Malhspüren, d'exécuter un changement de front à droite pour s'établir à

Jourdan, témoin des succès de l'avant-garde, bien qu'il n'eût aucune nouvelle de Férino ni de Souham, supposa qu'ils occuperaient assez le prince Charles pour l'empêcher de dégarnir sa gauche et de rétablir le combat de Liptingen. I ordonna donc à Soult de se mettre à la poursuite de l'en-cheval sur la chaussée de Liptingen, et ordonné nemi, et détacha Saint-Cyr sur Moskirch, afin de prévenir à Pfullendorf l'armée autrichienne dont la retraite lui paraissait infaillible. Ce mouvement était une faute grave; car on ne pouvait se dissimuler que la troupe de Meerfeld ne fût qu'un dé-bois de Buswinkel, fit attaquer vigoureusement les tachement, et qu'on allait disséminer ses forces à l'instant même d'aborder le gros de l'armée ennemie. Pour assurer la victoire, il n'y avait guère

au prince d'Anhalt-Kœthen d'appuyer la gauche de cette nouvelle ligne avec sa cavalerie. Les débris du corps de Meerfeld se reformaient derrière cette division, lorsque Soult qui avait pénétré dans le

Autrichiens. Ils pliaient déjà de toutes parts; mais l'arrivée de l'archiduc ranima leur courage. Ce prince les ramena à la charge, et le combat recom

mença avec plus de fureur; bientôt toute la division Soult se trouva engagée.

La charge de la réserve de cavalerie se fit sans ensemble et trop tard. Les cuirassiers de Nassau et de Mack soutinrent le choc sans être rompus, et tombant à leur tour sur les Français, les culbutèrent sur Liptingen. En vain Jourdan voulut rallier les carabiniers et les ramener à l'ennemi, sa voix fut méconnue et lui-même entraîné dans le tourbillon des fuyards. Cette déroute força l'infanterie à la retraite; elle s'effectua avec une attitude beau

Les deux partis se battaient avec une égale opiniâtreté. Trois fois les Français s'élancèrent au pas de charge sur la ligne autrichienne, et trois fois ils furent repoussés. Toutefois celle-ci éprou- | vait les pertes les plus sensibles. Le prince de Furstemberg fut tué, de même que le prince d'Anhalt-Bernbourg, colonel du régiment de l'Empereur, avec une foule de vaillants officiers. De-coup plus ferme qu'on ne devait s'y attendre après puis plusieurs heures les chances étaient variées, tant de fatigues; mais la 8°, abandonnée à elleet la victoire flottait incertaine, lorsque la colonne même dans le ravin, fut enveloppée et prise presde renfort qu'attendait l'archiduc vint faire pen- qu'entièrement, après avoir vu tomber son chef cher la balance de son côté. Jourdan qui n'avait et la plupart de ses officiers. L'archiduc, craignant pas de réserve d'infanterie à lui opposer, et dont de compromettre le succès qu'il venait d'obtenir, les troupes étaient accablées de fatigues, voyant arrêta la poursuite et forma sa ligne face à Neudes bataillons frais se porter sur sa droite, ordonna haus-ob-Eck et Liptingen. Jourdan se retira derà Soult de se retirer, en combattant, sur la cava- rière ce dernier village, et, de part, et d'autre l'on lerie de d'Haupoult déployée dans la plaine de se canonna jusqu'à la nuit. Liptingen; il détacha aussi le général Klein avec deux régiments de cette arme, pour surveiller les débouchés par lesquels l'ennemi pouvait se glisser sur les derrières de l'armée. Se faisant néanmoins toujours illusion sur le véritable état des choses, et ne renonçant pas à remporter la victoire, au lieu d'appeler Saint-Cyr à son secours, le général en chef lui recommanda de presser sa marche sur Moskirch, de détacher Vandamme avec 1,200 hommes d'infanterie et 600 chevaux sur les derrières des Autrichiens, et se borna à lui demander un seul régiment de renfort.

Saint-Cyr averti de l'issue du combat de Liptingen, jugea promptement tout le danger de sa position: certain qu'il lui serait impossible de rejoindre l'armée vers Tuttlingen. Il se décida, sans perdre une minute, à gagner Sigmaringen, afin d'y surprendre le passage du Danube, dont tout faisait croire qu'un détachement autrichien gardait le pont. Cette résolution, la seule au reste qu'il y eût à prendre, sauva l'aile gauche d'une ruine inévitable; on se saisit du pont, les troupes le passèrent dans la nuit, et opérèrent le lendemain leur retraite par la rive gauche. Vandamme, de son côté, reSur ces entrefaites, le comte de Kollowrath dé-joignit heureusement la division Soult, après avoir boucha de la forêt, à la tête de 6 bataillons de été repoussé de Millingen et de Schwandorf par la grenadiers et de 12 escadrons de cuirassiers de la cavalerie du prince de Wurtemberg. réserve autrichienne. Aussitôt l'archiduc porta 2 baPendant que ceci se passait au centre et à la taillons sur la hauteur de Neuhaus, pendant que gauche, Férino et Souham avaient attaqué les corps les autres se déployèrent en seconde ligne, et que de Schwarzenberg et de Nauendorf dans leurs poles cuirassiers se formaient à droite. Jourdan, té-sitions. Ceux-ci, conformément aux instructions de moin de ce mouvement, voulut faire un dernier effort pour rejeter l'ennemi dans le bois. Il ordonna à d'Haupoult de charger la cavalerie autrichienne, tandis que les généraux Mortier et Leval, avec la 25 légère, les 53 et 67° de ligne, aborderaient l'infanterie et l'empêcheraient de déboucher. La 8°, détachée par Saint-Cyr, qui venait d'arriver, cut la tâche de gagner le flanc de l'archiduc par le ravin d'Edenstetten.

l'archiduc, replièrent leurs troupes éparses, et après avoir défendu assez longtemps Aach et Steusslingen, vinrent se former entre Orsingen et Eigeltingen dans les bois d'Erlen. Férino ayant réussi à les en déloger après un vigoureux engagement, marcha sur Nenzingen, dont il s'empara à trois heures, ainsi que des hauteurs qui le dominent. Il croyait s'y lier au général Souham qu'il supposait sur la route de Stockach; mais celui-ci

s'étant arrêté sans motif à Eigeltingen, se contenta de pousser la brigade Decaen en avant du village; ainsi, de ce côté, comme à la gauche, le but de Jourdan fut manqué, puisqu'une seule división ne suffisait pas pour forcer la gauche et le centre de l'archiduc. Férino fit cependant quelques tentatives contre le Nellenberg et Wahlwies, mais elles furent déjouées par le général Staader qui occupait encore avec des forces imposantes le beau plateau dont le pied est baigné par la Stockach.

une autre, et il devenait urgent de ne pas abandonner Saint-Cyr au milieu de l'armée ennemie. Ces raisons, jointes aux promesses de renforts que lui donnait journellement le Directoire, décidèrent donc le général en chef à regagner les débouchés des montagnes Noires.

Le 26, après une fausse attaque sur Wahlwies, qui réussit à attirer l'attention des Autrichiens, | l'armée du Danube commença son mouvement. La brigade Rubi passa le Rhin à Schaffhausen et renAinsi finit la bataille de Stockach qui porta tra sous les ordres du général Xaintrailles. Férino quelque atteinte à la réputation de Jourdan, tout coucha à Singen, et prit le lendemain position enen faisant briller sa valeur d'un nouvel éclat. L'on tre Lofingen et Unadingen. Les divisions Soult, n'attribua point en France sa défaite au retard ni | Souham et d'Haupoult s'établirent entre Donauesau peu d'ensemble de la charge de cavalerie diffé-chingen et Villingen, après avoir détruit tous les rée par d'Haupoult; mais bien au détachement ponts du Danube. Saint-Cyr qui avait forcé sa prématuré de Saint-Cyr sur Moskirch, au moment marche, arriva à Rothweil et se lia par des postes même où sa présence eût été si nécessaire pour au reste de l'armée. rétablir l'équilibre des forces. On ne sut aucun gré du courage personnel que Jourdan avait déployé; et à la faveur des plaintes qui s'élevèrent contre lui, le général qui avait compromis par sa désobéissance l'honneur d'un corps jusqu'alors sans tache, échappa à l'animadversion de tous.

Quelque désastreuse que cette journée fût pour les Français, les Autrichiens n'en recueillirent cependant pas grands trophées; les pertes furent à peu près balancées; l'armée républicaine même partagea le champ de bataille, et se retira le lendemain sans être entamée. Toutefois, comme elle se trouvait déjà partagée en trois corps, trop éloignés les uns des autres, pour se réunir sur-le-champ et prendre une attitude imposante, elle fut forcée de renoncer à l'espoir de se lier à l'armée d'Hel- | vétie: jonction qui, dans l'état des choses, était absolument nécessaire pour donner quelque consistance aux opérations de la campagne. Réduite à moins de 30,000 combattants, dont le tiers encore était isolé et sans communications avec le reste, il devenait impossible qu'elle se soutint devant les forces nombreuses de l'archiduc: Jourdan battit donc en retraite, afin de réunir ses divisions éparses. Il pouvait se retirer en Suisse par Stein et Schaffhausen; mais un mouvemert de flanc en présence d'une armée victorieuse qui ne comptait pas moins de 20,000 chevaux, lui parut trop scabreux : d'ailleurs, une faute en nécessite souvent

L'étendue de cette nouvelle ligne aurait donné beau jeu à l'archiduc, s'il eût porté rapidement la totalité de ses forces en avant; mais voulant attendre le corps de Starray qui le rejoignit le 28, il ne lança que son avant-garde, renforcée de 6 bataillons et 24 escadrons à la poursuite des répu blicains, et concentra le reste de ses troupes aux environs de Liptingen.

L'apparition des coureurs autrichiens sur la droite de Rothweil, fit craindre à Jourdan que l'archiduc ne cherchât à le tourner, et, le 31 mars, il continua sa retraite. Férino occupa Neustadt et garda l'entrée de la vallée par des postes à Rottembach et Lenzkirch. Les généraux Soult et Souham campèrent sur le plateau de Brenz Ebene, couvrant leurs flancs par des détachements à Furstwangen, Tryberg et Schramberg. Saint-Cyr marcha sur Freudenstadt et le Kniebis. Le général Vandamme observa les débouchés de Schiltach, et lia la division de gauche à celles du centre. La cavalerie de réserve rentra dans la vallée du Rhin.

L'armée française était dans cette position depuis quatre jours, et Jourdan, malade, venait d'en remettre le commandement provisoire au chef d'état-major Ernouf, lorsque l'avant-garde autrichienne réussit à pénétrer, le 3 avril, entre l'aile droite et le centre. De forts partis enlevèrent Peterzell et Saint-Georges et menacèrent par Tryberg le flanc des divisions Soult et Souham, pendant

que d'autres têtes de colonnes se montraient du | Cette armée prétendue ne se composait encore, côté de Schiltach. Ernouf croyant avoir toute l'armée impériale sur les bras, fit replier dans la nuit du 8 au 4, les divisions du centre par la vallée de la Kintzig, prescrivit à celle de droite de gagner le Rhin par le val d'Enfer, et à Saint-Cyr de se retirer par Oberkirch. Le 5, le général Férino repassa le fleuve à Vieux-Brisach, et après avoir laissé 3 bataillons dans cette place, dirigea le reste de son infanterie par la rive gauche sur Bâle. Souham et Soult prirent position à Gengenbach, Saint-Cyr à Renchen et à Appenweier. Toutes ces troupes traversèrent le pont de Kehl, le 6 avril, ne laissant sur la rive droite que des postes d'observation.

malgré toutes les promesses du ministre de la guerre, que de 3 demi-brigades d'infanterie et 3 régiments de cavalerie. Il en laissa la direction au général Collaud, et partit pour Paris. Le Directoire accepta en même temps la démission de Jourdan, et réunit ses troupes, ainsi que celles de Bernadotte, sous le commandement de Masséna. Ce malheureux début prouva aux présomptueux directeurs toute l'ineptie de leur plan. Ils avaient commencé la guerre sans en avoir préparé les moyens, croyant réellement que 70,000 Français divisés, suffisaient pour vaincre 130,000 Autrichiens beaucoup plus concentrés. Cette lutte inégale ne fut pas au reste sans gloire pour les généraux et les soldats de la république; et l'on ne sait ce qui doit le plus étonner, ou de la témérité du gouvernement français, ou de l'inconcevable timidité du conseil aulique, qui tira si peu de parti de ses premiers avantages.

La stupeur que causa un événement si peu attendu, et pourtant si facile à prévoir, fut bientôt dissipée par le dénoûment tragique de l'intermi

Les Autrichiens perdirent cette occasion unique d'écraser les républicains dans leur retraite précipitée; toutefois, il y aurait de l'injustice à en attribuer la faute à l'archiduc. S'il mit d'abord de la lenteur à recueillir les fruits de sa victoire, ses vues furent ensuite entravées par le cabinet de Vienne, qui lui défendit de quitter les bords du lac de Constance, sous prétexte que son mouvement offensif laisserait le Tyrol en butte aux atta-nable congrès de Rastadt. En entrant en Souabe, ques de Masséna. Le prince abreuvé de dégoûts et trop sensible peut-être aux contrariétés qu'on lui suscitait tous les jours, cantonna de dépit l'armée | entre Engen et Wahlwies, et porta son quartier général à Stockach. Quatre bataillons et 8 escadrons observèrent le cours du Rhin, depuis Eglisau jusqu'à Constance. Un camp intermédiaire de 7 bataillons et 18 escadrons, fut établi à Singen. Enfin, 18 bataillous et 64 escadrons formèrent un corps séparé avec lequel le général Starray dat interdire aux Français l'accès de la forêt Noire. | Pour remplir cet objet, il concentra 10 bataillons et 28 escadrons aux environs de Villingen, afin de tomber en forces sur ce qui voudrait déboucher. Le reste de ce corps garda toutes les issues depuis Neustadt jusqu'à Freudenstadt, et jeta des partis dans la vallée du Rhin.

La retraite de l'armée du Danube entraîna celle de l'armée d'observation. Bernadotte qui avait, comme nous l'avons dit plus haut, poussé jusqu'à Heilbronn et formé l'investissement de Philipsbourg, travaillait déjà à établir des batteries incendiaires, lorsqu'il fut obligé de repasser le Rhin.

Jourdan avait déclaré Rastadt ville neutre, et donné une sauve garde au congrès. Cette situation favorisait les desseins de la France, qui voulait détacher les princes de l'Empire de l'alliance de l'Autriche : déjà la tournure des négociations promettait au Directoire un plein succès, quand la bataille de Stockach et la retraite de l'armée du Danube firent tout à coup pencher la balance diplomatique du côté du vainqueur. Dès lors aussi le cabinet de Vienne prétendit régler le sort du midi de l'Allemagne. Désirant connaître jusqu'à quel point les princes de l'Empire s'étaient avancés vis-à-vis du Directoire, il chargea le comte de Lehrbach, son ministre plénipotentiaire, d'aviser aux moyens de se procurer leur correspondance avec les négociateurs républicains. Celui-ci n'en trouva pas de plus sûr que de faire enlever le caisson de la légation française, au moment de la rupture du congrès, et fut autorisé par sa cour à requérir du prince Charles les troupes nécessaires à ce coup de main. L'archiduc les refusa d'abord, objectant que ses soldats ne devaient pas se mêler d'affaires diplomatiques; mais le comte de Lehrbach, ayant

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