| Jean-Louis-Marie Dugast De Bois-Saint-Just - 1811 - 784 pagina’s
...convaincue du tour perfide qu'on lui avait joué. MADAME DE B. disait un jour naïvement étant à table : mon Dieu , je suis bien heureuse de ne point aimer les épinards, car j'en mangerais et je ne puis pas les souffrir. LE maire du petit village de Ta! an s en Bourgogne ,... | |
| Jean Louis M. Dugast de Bois-Saint-Just (marq.) - 1817 - 396 pagina’s
...convaincue du tour perfide qu'on lui avait joué. MADAME DE B. disait un journaïvement étant à table : Mon Dieu, je suis bien heureuse de ne point aimer les épinards , car j'en mangerais et je ne puis pas les souffrir. LE maire du petit village deTalans en Bourgogne, avait,... | |
| Victor Fournel - 1872 - 546 pagina’s
...(Brazier, Chrouique des petits tlte'âtres.) M«" de B. disait un jour naïvement étant à table : « Mon Dieu , je suis bien heureuse de ne point aimer les épinards, car j'en mangerais, et je ne puis pas les souffrir (1). » (Paris, fersailles et les provinces au XfIII"... | |
| Félix Alexandre Le Dantec - 1908 - 348 pagina’s
...comme celui-ci qu'on m'apprenait dans mon enfance : Je n'aime pas les haricots, et j'en suis bien aise, car si je les aimais j'en mangerais, et, comme je ne les aime pas. cela ne me ferait pas plaisir. Si la conscience n'existait pas, ce que nous dirions n'aurait aucun... | |
| 1907 - 792 pagina’s
...comme celui-ci qu'on m'apprenait dans mon enfance : Je n'aime pas les haricots, et j'en suis bien aise, car si je les aimais j'en mangerais, et, comme je ne les aime pas, cela ne me ferait pas plaisir. Si la conscience n'existait pas, ce que nous dirions n'aurait aucun... | |
| 1811 - 610 pagina’s
...sur- le champ t moi je lui donnerai le sien ». Mme. de B* disait un jour naïvement,étant à table : Mon Dieu , je suis bien, heureuse de ne point aimer les épinards ; car fen mangerais , et je ne puis pas les souffrir ». J'ai cité cette naïveté, parce qu'étant dernièrement... | |
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