| Gabriel Girard - 1737 - 410 pagina’s
...qu'on y trouve dans le figuré, elle fent toujours là dépendance d'un fujet qui parle de fes maures, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur Ruffien ou Chinois s'en fervît en f allant l'éloge des Romains; & nous-œême nous Ly! " ne ne nous en fervons point en parlant de autres... | |
| Gabriel Girard - 1770 - 630 pagina’s
...penfée faufïe dans le fens littéral ; & quelque beauté qu'on y trouve dans le figuré , elle fent toujours la dépendance d'un fujet qui parle de fes...ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un Orateur Rufïîen ou Chinois l'en iervît en faisant l'éloge des Romains ; nous-mêmes nous ne nous en fervons... | |
| 1798 - 444 pagina’s
...qu'on y trouve dans le figuré, elle sent toujours la dépendance d'un sujet qui parle de ses maitres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russien ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains ; nousmêmes nous ne nous en servons... | |
| François Guizot - 1809 - 1068 pagina’s
...y trouve dans le figuré, elle sent toujours la dépendance d'un esclave qui parle de ses maitres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russien ou chinois s'en servit en faisant l'éloge des Romains. Noas-mêmes , nous ne u^us en servons... | |
| 1810 - 564 pagina’s
...beauté qu'on y trouve dans le figuré, elle sent toujours la dépendance d'un esclave qui parle de ses maîtres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russien ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains. Nous-mêmes, nous ne nous en servons... | |
| François Guizot - 1822 - 562 pagina’s
...beauté qu'on y trouve dans le figuré , elle sent toujours la dépendance d'un esclave qui parle de ses maîtres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russien ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains. Nous-mêmes, nous ne nous en servons... | |
| François Guizot - 1848 - 562 pagina’s
...beauté qu'on y trouve dans le figuré, die sent toujours la dépendance d'un esclave qui parle de ses maîtres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russe ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains. Nous-mêmes , nous ne nous en servons... | |
| François Guizot - 1848 - 1044 pagina’s
...beauté qu'on y trouve dans le figuré, elle sent toujours la dépendance d'uii esclave qui parle de ses maîtres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russe ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains. Nous-mêmes , nous ne nous en servons... | |
| François Pierre G. Guizot, Guizot (M., François) - 1850 - 538 pagina’s
...beauté qu'on y trouve dans le figuré, elle sent toujours la dépendance d'un esclave qui parle de ses maîtres, ou du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russe ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains. Nous-mêmes , nous ne nous en servons... | |
| François Pierre G. Guizot, Guizot (M., François) - 1850 - 544 pagina’s
...trouve dans le figuré, elle sent toujours la dépendance d'un esclave qui parle de ses maîtres, on du moins de ceux qui l'ont été. Je ne crois pas qu'un orateur russe ou chinois s'en servît en faisant l'éloge des Romains. Nous-mêmes , nous ne nous en servons... | |
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