 | 1769 - 538 pagina’s
...iufenfiblement il la tira dans une fenêtre, ils fe parlèrent bas aflcz longtemps, pleurèrent, & fe dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent enfuite une profonde révérence à ces vénérables matrones, paflerent dans une autre chambre, &... | |
 | DAMIEL PINET - 1769 - 554 pagina’s
...infenfiblement il la tira dans une fenêtre, iîs fe parlèrent bas aflcz longtemps, pleurèrent, & fe dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent enfuite une profonde révérence à ces vénérables matrones, paffèrent dans une autre chambre, &... | |
 | Laurent Angliviel de La Beaumelle, M. de La Beaumelle (Laurent Angliviel) - 1778 - 234 pagina’s
...infenfiblement il l'attira dans une fenêtre; ils fe parlerent bas affez long- temps, pleurerent & fe dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas ; ils firent enfuite une profonde révérence à ces vénérables matrones , pafTerent dans une autre chambre ,... | |
 | M. de La Beaumelle (Laurent Angliviel) - 1778 - 216 pagina’s
...mfenfiblement il l'attira dans une fenêtre; ils fe parlerent bas affez long- temps, pleurerent & fe dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas ; ils firent enfuite «ne profonde révérence à ces vénérables matrones , paiïerent dans une autre chambre... | |
 | Madame de Maintenon - 1789 - 240 pagina’s
...Mais insensiblement il l'attira dans une fenêtre ; ils se parlerent bas assez long-tems , pleurerent et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil...profonde révérence à ces vénérables matrones , passerent dans une autre chambre , et il en avint mad. la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le... | |
 | Claude-Sixte Sautreau de Marsy - 1793 - 490 pagina’s
...l'embrasure d'une fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-tems , et se direnfrce qu'on a coutume de dire en pareil cas ; ils firent ensuite une profonde...d'Orléans , et ensuite M. le comte de Toulouse. Je ne puis , continue assez plaisamment madame de Caylus , m'empocher de dire une pensée qui me vint dans l'esprit.... | |
 | Claude Sixte Sautreau de Marsy - 1793 - 490 pagina’s
...l'embrasure d'une fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-tems , et se dirent ce qu'on a coutume de dire en pareil cas ; ils firent ensuite une profonde...matrones , passèrent dans une autre chambre, et il en avint madame la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le comte de Toulouse. Je ne puis , continue assez... | |
 | Madame de Caylus (Marthe-Marguerite) - 1806 - 298 pagina’s
...mais insensiblement il la tira dans une fenêtre ; ils se parlerent bas assez long temps, pleurerent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil...profonde révérence à ces vénérables matrones, passerent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le comte... | |
 | Madame de Caylus (Marthe-Marguerite) - 1806 - 290 pagina’s
...mais insensiblement il la tira dans une fenêtre ; ils se parlerent bas assez long temps, pleurerent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil...profonde révérence à ces vénérables matrones , passerent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le... | |
 | Pierre Jean-Baptiste Chaussard - 1806 - 572 pagina’s
...compagnie , se parlèrent à voix basse dans une embrâsure , pleurèrent et se dirent ce qu'on a coutume de dire en pareil cas ; ils firent ensuite une profonde révérence à ces vénérables matrones, et passèrent dans une autre chambre où ils demeurèrent fort long-temps : de cette conversation advint... | |
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Roi vint donc chez madame de Montespan comme il avoit été décidé : mais insensiblement il la tira dans une fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-temps , pleurèrent et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent ensuite... 
