Mémoires pour servir à l'histoire de France sous Napoléon, Volume 5

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Pagina 210 - dats, vous avez beaucoup fait Mais ne « vous reste-t-il donc plus rien à faire ?, « Dira-t-on de nous que nous avons su vaincre, « mais que nous n'avons pas su profiter de la « victoire? la postérité nous reprochera-t-elle « d'avoir trouvé Capoue dans la Lombardie?... « Mais je vous vois déja courir aux
Pagina 186 - hommes. Vous vous étiez jusque ici « battus pour des rochers stériles, illustrés par « votre courage, mais inutiles à la patrie ; vous « égalez, aujourd'hui, par vos services, l'armée « de Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous « avez suppléé à tout. Vous avez gagné des
Pagina 209 - die. Les ducs de Parme et de Modène ne doi« vent leur existence politique qu'à votre « générosité. L'armée qui vous menaçait avec « orgueil ne trouve plus de barrière qui la « rassure contre votre courage; le Pô, le Té« sin, l'Adda, n'ont pu vous arrêter un seul
Pagina 111 - de son âge, lui accorda ce qu'il demandait; Eugène se mit à pleurer en voyant l'épée de son père; le général en fut touché et lui témoigna tant de bienveillance, que madame de Beauharnais se crut obligée de se rendre chez lui le lendemain, pour lui en faire des remerciements. Chacun connaît la
Pagina 186 - bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. « Les phalanges républicaines, les soldats de « la liberté étaient seuls capables de souffrir ce « que vous avez souffert ; graces vous en soient « rendues , soldats ! La patrie reconnaissante
Pagina 101 - de la rue Vivienne, que les commissaires avaient été les plus coupables, et s'étaient pourtant montrés au sein de l'assemblée des accusateurs triomphants. Frappé de ces raisons, mais dans l'impossibilité de destituer les commissaires sans un-e longue discussion dans l'assemblée, le comité, pour tout concilier, car il n'avait pas de
Pagina 95 - la constitution connue sous le nom de constitution de l'an III, qui confiait le gouvernement à cinq personnes, sous le nom de Directoire; la législature à deux conseils dits des Cinq-cents et des Anciens. Cette constitution fut soumise à l'acceptation du peuple réuni en assemblées primaires. L'opinion était généralement répandue qu'il fallait attribuer
Pagina 219 - était d'un caractère indécis, peu propre à commander en chef, mais possédant toutes les qualités d'un bon chef d'état-major. Il connaissait bien la carte, entendait bien la partie des reconnaissances, soignait lui-même l'expédition des ordres ; était rompu à présenter, avec simplicité, les mouvements les plus composés d'une armée. Au commencement, on voulut lui attirer la
Pagina 381 - faites écrire sur les drapeaux : « Ils ne sont plus de l'armée d'Italie! » Cette harangue, prononcée d'un ton sévère arracha des larmes à ces vieux soldats : les lois de la discipline ne purent étouffer les accents de leur douleur; plusieurs grenadiers qui avaient des armes d'honneur s'écrièrent : « Général, on « nous a calomniés; mettez - nous à
Pagina 103 - étaient sous les armes, fort animés contre la convention; les troupes de ligne chargées de la défendre étaient peu nombreuses, et pouvaient facilement être entraînées par le sentiment de la population qui les environnait. La convention , pour accroître ses forces, donna des armes à i5oo individus, dits les patriotes de

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