 Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris à lire; je ne me souviens que de mes premières lectures et de leur effet sur moi : c'est le temps d'où je date sans interruption la conscience...  Oeuvres complètes - Pagina 19door Jean-Jacques Rousseau - 1832Volledige weergave - Over dit boek
 | Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pagina’s
...penser ; c'est le sor t commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...sans interruption la conscience de moimême. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper mon père et moi. Il n'était... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 pagina’s
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité ; je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans ; je ne sais comment j'appris...moi-même. Ma mère avoit laissé des romans ; nous nous. mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'étoit question d'abord que de m'e.xercer... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 pagina’s
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité ; je l'éprouvai plus qu'u» autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans ; je ne sais comment j'appris...moi-même» Ma mère avoit laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'étoit question d'abord que de m'exercer à... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 pagina’s
...paya toujours avec une exactitude religieuse. PART. I, LIV. I. (1712—1719) 9 J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avoit laisse des romans; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'étoit question... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 pagina’s
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après sou.per, mon père et moi. Il n'était... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 pagina’s
...penser ; c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...temps d'où je date sans interruption la conscience de moi-rnême. Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père... | |
 | L. Meynier - 1830 - 176 pagina’s
...et sa vie que nous allons les rapporter en ses propres termes : « J'ignore, dit-il, ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans : je ne sais comment j'appris...mes premières lectures et de leur effet sur moi. Mamère avait laissé des romans. Nous nous mîmes à les lire après souper, mon père etmoi. Il n'était... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pagina’s
...penser; c'est le sort commun de 1 humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...lectures et de leur effet sur moi : c'est le temps d où je date sans interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans; nous... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pagina’s
...penser; c'est le sort commun de l'humanilé. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comment j'appris...de mes premières lectures et de leur effet sur moi : c'esl le temps d'où je date sans interruption la conscience de moi-même. Ma mère avoit laissé... | |
 | A. Charma - 1840 - 438 pagina’s
...franchise et la candeur. (4) .. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans. Je ne sais comirient j'appris à lire ; je ne me souviens que de mes premières...leur effet sur moi : c'est le temps d'où je date saus interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans , nous nous mimes à... | |
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