Collection des mémoires relatifs à lh̓istoire de France...Foucault., 1823 |
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affaires agreable amis amitié avoient avoit avoit esté ayant Bussi c'estoit cardinal catholiques chambre chancelier château chose Christophe de Thou connoissance conseil Cour d'Anjou d'Ossat devoit Dieu disoit duc d'Alençon duc de Guise empescher enfans esprit estant estoient estoit estre étoient étoit eust faisoit falloit femme fille Flandre Foix François frere fust gens gouverneur grace Guast guerre Henri homme huguenots j'avois j'ay JACQUES-AUGUSTE DE THOU jamais Jean jeune jours l'Etat laisser Lalain Ligue long-temps luy avoit m'en madame maison Majesté Marguerite mary ment mesme mort n'avoit n'y avoit Navarre paix parlement passé Paul de Foix père personne Pibrac Pithou pourroit pouvoit premier président président de Thou prince princesse prit protestans pust quoy religion Reyne Reyne ma mere rien Roche-sur-Yon Rome Roy mon mari royaume s'en s'étoit Saint Schomberg seigneur sentimens seroit seulement sœur sorte soudain temps-là tion tousjours troupes trouver venoit vint vouloit voyoit
Populaire passages
Pagina 108 - ... accompagnées, qu'elle en receut autant de louanges que la compagnie de plaisir. Les tables levées, le bal commença en la salle mesme...
Pagina 107 - ... elle parée et toute couverte de pierreries et de broderies , avec une robille à l'espagnole de toile d'or noire, avec des bandes de broderie de canetille d'or et d'argent, et un pourpoint de toile d'argent blanche en broderie d'or , avec de gros boutons de diamant ( habit approprié à l'office de nourrice ), l'on luy apporta à la table son petit fils, emmaillotté aussi richement qu'estqit vestue la nourrice, pour luy donner à taitter.
Pagina 51 - Mon Dieu, ma sœur n'y allez pas. » Ce qui m'effraya extremement. La Reyne ma mere s'en apperceut, et appellant ma sœur se courrouça fort à elle , et luy deffendit de me rien dire. Ma sœur luy dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute, s'ils decouvroient quelque chose, ils se vengeroient de moy.
Pagina 282 - Bordeaux, homme franc, ennemi de toute contrainte, et qui n'était entré dans aucune cabale ; d'ailleurs fort instruit de nos affaires, principalement de celles de la Guyenne, sa patrie, qu'il connaissait à fond...
Pagina 53 - Une heure après, comme j'estois le plus endormie , voicy un homme frappant des pieds et des mains à la porte , et criant : « Navarre, Navarre !» Ma nourrice, pensant que ce fust le Roy mon mary, court vistement à la porte.
Pagina 434 - Chacun alors se prépara comme si les ennemis eussent été en présence : on reconnut que c'étoient des troupes de Sa Majesté, qui conduisoient sur des chariots les corps de deux jeunes seigneurs à leurs parens. Celui de Louis de Rohan, duc de Montbazon, étoit dans le premier chariot : ce triste spectacle fit cesser la crainte, mais il n'en causa pas moins de douleur. Celle du président de Thou fut si vive, qu'il ne put retenir ses larmes : les vers suivans ne font sentir qu'une partie de ses...
Pagina 46 - Cour avec beaucoup d'honneur ; et nos nopces (') se firent peu de jours après avec autant de triomphe et de magnificence que de nul autre de ma qualité; le roy de Navarre et sa troupe y ayans laissé et changé le dueil en habits très-riches et beaux, et toute la Cour parée comme vous...
Pagina 498 - ... les moyens d'éviter les périls, de recouvrer ce qu'ils ont perdu, de passer en un moment d'un lieu dans un autre; entretiennent l'amitié entre les pères et les enfans, les maris et les femmes, entre tous ceux enfin auxquels on la doit. Il ajouta qu'il conversoit avec ces esprits célestes, habitans de l'air, qui, bienfaisans de leur nature, ne sont capables que de faire du bien; que ceux qui sont au centre de la terre, et qui commandent aux sorciers, sont des esprits malins qui ne sont capables...
Pagina 227 - Buonarotti, cet homme célèbre qui de ses jours avoit fait revivre la peinture, la sculpture et l'architecture, fort négligées depuis long-temps. De Foix , sur le rapport qu'on lui fit de ce chef-d'œuvre , le voulut voir. Tous ceux de sa suite , et de Thou luimême , qui avoit un goût fort délicat pour ces sortes d'ouvrages, après l'avoir considéré...
Pagina 412 - Florac etAnduse adroite, ils descendirent par une plaine à Alais, lieu très-agréable, mais un peu ruiné par la guerre. Enfin ils gagnèrent Uzès, où Schomberg fut obligé de garder le lit pendant quelque temps; comme il étoit fort replet, il étoit fatigué du chemin qu'il avoit été contraint de faire à pied, contre sa coutume, dans les chemins rudes et dangereux de ces montagnes. A Uzès, de Thou fut informé des ravages qu'un nommé Mathieu Merle...