Oeuvres de Bossuet, évéque de Meaux,: revues sur les manuscrits originaux, et les éditions les plus correctes..De l'imprimerie de J.A. Lebel, imprimeur du Roi., 1816 |
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Oeuvres de Bossuet, évêque de Meaux, Volume 10 bishop Jacques-Bénigne Bossuet Aucun aperçu disponible - 1815 |
Expressions et termes fréquents
adore aime ame chrétienne amour apôtres avez avoit bonté BOSSUET c'est-à-dire c'étoit cachée chair charité chose Christ ciel ciples cœur connoissance connoître consolateur corps créature croix demande demeure désirs devoit dire disciples disoit divine donne écou Eglise enfans Ephes esprit éternelle êtes étoient étoit falloit fidèles Fils de Dieu foible foiblesse fruit gentils gloire glorifié hommes Ibid j'ai jamais Jésus Jésus-Christ Joan joie JOUR jugement jusqu'à justice l'ame l'amour l'Eglise l'esprit l'homme l'orgueil laisser lui-même lumière m'avez Matt ment miséricorde Mission du Saint-Esprit moi-même monde mort non-seulement par-là parfait parfaite parle paroître parole péché pécheurs Père perfection plaisir pouvoit prier prière Psaume puissance qu'est-ce rien s'il sacrifice saint Augustin saint Jean saint Jude saint Luc saint Paul saint Pierre Saint-Esprit sainteté sanctifié Satan Sauveur secret Seigneur sera seroit seul sorte tence terre et cendre tion vérité veut veux Voilà voit volonté vous-même XVII
Fréquemment cités
Page 427 - saint Jean, après avoir dit : N'aimez pas le monde , ni ce qui est dans le monde; parce que tout ce qui est dans le monde est concupiscence de la chair , ou, concupiscence des yeux , ou orgueil de la vie, ajoute : laquelle concupiscence , ainsi divisée dans ses trois branches, n'est pas du Père,
Page 293 - et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez le repos de vos âmes : car mon joug est doux , et mon fardeau est léger (»). Il faut à l'homme un joug, une loi, une autorité, un commandement : autrement, emporté par
Page 216 - est dans le monde est concupiscence de la chair, ou concupiscence des yeux , ou orgueil de la vie ('). Ce qui est ramassé dans ce seul mot de la même épître : Tout le monde est gisant, plongé dans le mal: tout y est mauvais, tout y consiste en malignité
Page 581 - MORT. / JE suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, quand il serait mort, il vivra; et celui qui vit et croit en moi, ne mourra point à jamais. Celui qui croit en moi ne
Page 99 - Pourquoi, Seigneur, pourquoi, dit saint Jude? Lui seul pouvoit résoudre cette question ; mais il s'en est réservé le secret. Et c'est pourquoi il n'y répond pas; et sans faire même semblant de l'entendre, il répète encore une fois : Si quelqu'un m'aime, il gardera mon commandement; et mon Père l'aimera, et nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure en lui
Page 214 - Lisez encore ces paroles de Jésus-Christ, en saint Jean : Ne murmurez point les uns contre les autres : personne ne peut venir à moi, si mon Père, qui m'a envoyé, ne l'attire; et je le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les Prophètes : Ils seront tous enseignés de Dieu. ' Quiconque a été enseigné de mon Père, et a appris,
Page 194 - Mais il veut dire que non content de cela, il fait plus, puisqu'il nous concilie tellement le Père, que de lui-même il se porte à nous aimer, quoique toujours au nom de son Fils; puisqu'il dit : Mon Père vous aime , parce que vous m'avez aimé, et que vous avez cru que je suis sorti de Dieu
Page 345 - ou il ne sait pas qui il est. Et encore : Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï le premier. Si vous eussiez été du monde, le monde aimerait ce qui est à lui : mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai élus du milieu du monde,
Page 434 - je l'ai, mais comme donnée : j'ai en moi-même , et je donne à qui je veux la vie éternelle ; mais c'est mon Père qui m'a donné d'avoir la vie en moi-même : Vous boirez bien mon calice ; mais pour être assis à ma droite ou à ma gauche, ce n'est pas à moi de le donner, mais ceux-là
Page 353 - Dieu, encore un coup, qui oseroit parler de cette profonde et honteuse plaie de la nature, de cette concupiscence qui lie l'âme au corps par des liens si tendres et si violens, dont on a tant de peine, à se de'prendre, et qui cause aussi dans le genre humain de si effroyables de'sordres? Malheur