Le Correspondant, Volume 17;Volume 53

Voorkant
Charles Douniol, 1861
 

Overige edities - Alles bekijken

Veelvoorkomende woorden en zinsdelen

Populaire passages

Pagina 342 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais, II ment quand il le dit, et ne le fut jamais, Est-il vice plus bas, est-il tache plus noire.
Pagina 588 - Sa Majesté Impériale le Sultan, dans sa constante sollicitude pour le bien-être de ses sujets, ayant octroyé un Firman qui, en améliorant leur sort, sans distinction de religion ni de race, consacre ses généreuses intentions envers les populations chrétiennes de son Empire , et voulant donner un nouveau témoignage de ses sentiments à cet égard , a résolu de communiquer aux Puissances contractantes ledit Firman , spontanément émané de sa volonté souveraine.
Pagina 433 - Le Sénat maintient ou annule tous les actes qui lui sont déférés comme inconstitutionnels par le gouvernement, ou dénoncés pour la même cause par les pétitions des citoyens.
Pagina 341 - Cid, et un bouffon appelé le valet gracieux -, personnages .également ridicules : mais tous les sentimens généreux et tendres dont Corneille a fait un si bel usage sont dans ces deux originaux. Je n'avais pu encore déterrer le Cid de Diamante quand je donnai la première édition des commentaires de Corneille ; je marquerai dans celle-ci les principaux endroits qu'il traduisit de cet auteur espagnol.
Pagina 257 - C'est pourtant dans la commune que réside la force des peuples libres. Les institutions communales sont à la liberté ce que les écoles primaires sont à la science; elles la mettent à la portée du peuple ; elles lui en font goûter l'usage paisible et l'habituent à s'en servir. Sans institutions communales une nation peut se donner un gouvernement libre, mais elle n'a pas l'esprit de la liherté.
Pagina 294 - Sangliers et loups, quand je passe, grincent des dents à ma vue. « J'ai perdu ma harpe; les arbres aux fruits d'or ont été abattus. « Les rois des Bretons sont tous morts ; les rois étrangers oppriment le pays. « Les Bretons ne me disent plus : « Chante, « Merzin, les choses à venir. » « On m'appelle Merzin h Fou, et on me chasse à coups de pierres.
Pagina 871 - Non, mon âme, non; pas avec ces armes ! Le poids du sacrifice peut seul écraser à son tour le sort qui nous écrase... Oh! non, ma patrie, sois plutôt la patience qui enseigne comment on élève l'édifice pierre à pierre; sois l'inflexible volonté- et l'humble recueillement qui prépare la victoire future ; sois le calme dans la tempête; sois l'harmonie au milieu des cris de discorde; sois l'éternelle beauté au milieu des laideurs ; sois, pour les lâches et les pharisiens, le silence accablant...
Pagina 316 - Si le gouvernement avait besoin de diriger des troupes et un matériel militaire ou naval sur l'un des points desservis par le chemin de fer, la Compagnie serait tenue de mettre immédiatement à sa disposition, pour la moitié de la taxe du même tarif, tous ses moyens de transport.
Pagina 279 - ... n'a augmenté sa majorité que pour accroître mon pouvoir. Mais plus le pouvoir gagne en étendue et en force vitale, plus il a besoin d'hommes éclairés comme ceux qui m'entourent chaque jour, d'hommes indépendants comme ceux auxquels je m'adresse, pour m'aider de leurs conseils, pour ramener mon autorité dans de justes limites, si elle pouvait s'en écarter jamais. Je prends dès aujourd'hui, avec la couronne, le nom de Napoléon III, parce que la logique du peuple me l'a déjà donné...
Pagina 827 - ... concorde que nous sommes la nation du sacrifice. La couronne d'épines , voilà depuis près d'un siècle notre emblème! Cette couronne ornait hier les cercueils de nos frères. Chacun de vous en a compris le sens; elle signifie patience dans la douleur , sacrifice , délivrance et pardon. Nous invitons tout Polonais , quel que soit son culte , à répandre ces paroles dans les contrées les plus reculées.

Bibliografische gegevens