C'est là que, loin de la foule, après les fatigues d'une longue route, nous attendions le moment de la traversée. « Nous étions seuls, conversant avec une ineffable douceur et dans l'oubli du passé, dévorant l'horizon de l'avenir, nous cherchions... Revue contemporaine et athenaeum français - Pagina 2081858Volledige weergave - Over dit boek
| 1846 - 1224 pagina’s
...conversant avec une inef» fable douceur et dans l'oubli du passé, dévorant l'horizon de l'ave» nir ; nous cherchions entre nous, en présence de la vérité...pour les saints cette vie éternelle que l'œil n'a pas » vue, que l'oreille n'a pas entendue, et où n'atteint pas le cœur de » l'homme. » On ne décrit... | |
| 1846 - 408 pagina’s
...Scbeffer, c'est saint Augustin et sainte Monique, sa mère, en extase et se donnant la main. a Nous étions seuls, conversant avec « une ineffable douceur...dans l'oubli « du passé, dévorant l'horizon de l'ave« nir ; nous cherchions entre nous , en « présence de la vérité que vous êtes, a quelle... | |
| 1860 - 684 pagina’s
...de la foule, après la fatigue d'une longue route, nous attendions le moment de la traversée Nous étions seuls, conversant avec une ineffable douceur......l'horizon de l'avenir, nous cherchions entre nous quelle sera pour les saints cette vie éternelle que l'œil n'a point vue, que l'oreille n'a point... | |
| 1861 - 938 pagina’s
...foule, après la fatigue d'une longue « route, nous attendions le moment de la traversée. « Nous étions seuls, conversant avec une ineffable « douceur, et, dans l'oubli du passé, dévorant l'ho« rizon de l'avenir, nous cherchions entre nous « quelle sera pour les saints cette vie éternelle... | |
| Charles Perrier - 1863 - 414 pagina’s
...au tombeau et dans les Saintes Femmes, se trouvent réunies et condensées dans ce morceau. « Nous étions seuls, conversant avec une ineffable douceur,...les choses contenues dans un texte aussi compliqué. Qu'importe? Le groupe formé par saint Augustin et sa mère est pur et harmonieux ; le dessin en est... | |
| 1893 - 484 pagina’s
...la foule, après les fatigues d'une longue route, nous attendions le moment de la traversée. Nous étions seuls, conversant avec une ineffable douceur,...l'avenir, nous cherchions entre nous , en présence de cette vérité qui est Vous-même, quelle sera pour les saints cette vie éternelle, « que l'œil... | |
| 1891 - 608 pagina’s
...foule, après les fatigues d'une longue route, nous attendions le moment de la traversée. « Nous étions seuls, conversant avec une ineffable douceur...les saints cette vie éternelle « que l'œil n'a pas vue, que l'oreille n'a pas entendue et < où n'atteint pas le cœur de l'homme >. Et nous aspirions... | |
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