Revue suisse, Volume 24

Voorkant
1861
 

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Populaire passages

Pagina 195 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson; Et comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin, Je veux achever ma journée.
Pagina 293 - Histoire de France, depuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours, d'après les documents originaux et les monuments de l'art de chaque époque, par MM.
Pagina 299 - Sire, j'étais bien tout prêt de donner ma vie pour la gloire de Dieu ; si c'eût été avec quelque regret, certes il serait éteint en ayant ouï prononcer à mon grand roi :
Pagina 461 - ... qu'il n'avait rien acquis et qu'il avait beaucoup cédé. J'ai dit qu'il n'y avait nulle inégalité de droit dans la bourgeoisie. Car alors la différence des citoyens aux bourgeois n'existait pas, et tous pouvaient également parvenir aux charges. Il y avait pourtant les habitants qui n'étaient pas bourgeois; de nouveaux venus ne devaient pas d'abord partager tous les droits des enfants de la maison, mais les fils des habitants devenaient bourgeois par leur naissance, et le mot de natif n'était...
Pagina 494 - Va, petit livre, et choisis ton monde ; car aux choses folles, qui ne rit pas bâille; qui ne se livre pas résiste; qui raisonne se méprend, et qui veut rester grave en est maître.
Pagina 550 - Etudions avec soin l'histoire de « notre pays; appliquons-nous à le bien connaître : « plus nous le connaîtrons, plus nous l'aimerons, et « l'amour donne tout : il donne la foi et l'espérance ; « il tourne en joie les sacrifices; il enseigne la « constance et la modération; il engendre l'union ;
Pagina 331 - ... où le servage s'abolissait dans le reste de l'Europe. Depuis l'invasion des Mongols , les Slaves, jusqu'alors l'un des peuples les plus libres du monde, sont devenus esclaves des vainqueurs d'abord , et ensuite de leurs propres princes. Le servage s'établit alors chez eux non-seulement comme un fait, mais comme une loi constitutive de la société. Il a dégradé la parole humaine en Russie, au point qu'elle n'y est plus considérée que comme un piége : notre gouvernement vit de mensonge,...
Pagina 596 - ... public et vexatoires pour le commerce : d'autre part, si le principe de la protection n'a pas reçu une extension également nuisible au revenu de l'Etat et aux intérêts du peuple. Sa Majesté désire aussi que vous preniez en considération les lois qui règlent le commerce des grains. Vous aurez à voir si ces lois n'aggravent pas les fluctuations naturelles des moyens de subsistance, si elles n'entravent pas le commerce, ne dérangent pas le cours de la circulation monétaire, ne diminuent...
Pagina 460 - Neucliàlel a sous ses princes : l'honneur et l'embarras du gouvernement était (sic) pour le prélat ; l'avantage ei la sûreté était (sic) pour le peuple. Au dehors, protégé par son souverain, au dedans, par ses franchises, le Genevois ne craignait ni son maître, ni ses voisins, il était beaucoup plus libre que s'il eilt été tout-à-fait républicain (I).
Pagina 729 - Avec son frêle corsage et sa robe de laine, couleur de la grenade; avec son front uni et ses grands yeux si beaux; avec ses longs cheveux noirs et son visage brun, je la verrai tout à l'heure, la douce vierge, qui me dira : — Bon vêpre ! O Zani, venez vite ! * Pecaire, mot intraduisible, interjection de compassion, d'amitié, de tendresse.

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