Histoire de la révolution française, Volume 3Chamerot, 1848 - 557 pagina's |
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Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
17 JUILLET 21 juin actes adresse allaient allait amis ardent avaient Avignon Bailly Bancal Barnave Brissot c'était Camille Desmoulins Carpentras Champ-de-Mars Charles de Lameth chose citoyen club cœur comités Condorcet constitutionnels Cordeliers coup croyait d'Avignon Danton déclarer décret demanda députés devait dire Dumouriez Duport émigrés ennemis envoyé eût faisait fallait femmes Feuillants force foule furieux fût garde nationale garde soldée général Gironde Gros-Caillou guerre hommes Jacobins jeune jour JUILLET 91 JUIN 91 l'Assem l'Assemblée constituante l'autel Laclos Lafayette Lameth lettre liberté Louis XVI MADAME ROLAND Malouet Marat massacre meneurs ment ministre Mme Roland monarchie mort municipalité n'avait n'était nation noble parler paroles passion patrie patriotes personne Pétion pétition peuple politique pouvait prêtres question reine républicains république reste Révolution rien Robespierre rois royalistes royauté s'était salon sauver semblait sentiment seul Sieyès société soir sorte terrible tête tion tout-à-l'heure tribunes trouver Tuileries Varennes venait violente Voilà voter voulait
Populaire passages
Pagina 524 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Pagina 56 - On m'a accusé au sein de l'assemblée d'être républicain, on m'a fait trop d'honneur, je ne le suis pas ; si on m'eût accusé d'être monarchiste, on m'eût déshonoré , je ne le suis pas non plus.
Pagina 509 - ... pareil délit. Il est vrai que mes ministres ont continuellement trompé l'Assemblée nationale sur le nombre, la disposition des troupes et leurs approvisionnements...
Pagina 508 - Il est vrai que ces armées étaient trop faibles; mais la Constitution ne désigne pas le degré de force que je devais leur donner : il est vrai que je les ai rassemblées...
Pagina 482 - Monsieur... oui, monsieur ! écoutez-nous ; vous êtes fait pour nous écouter... Vous êtes un perfide, vous nous avez toujours trompés, vous nous trompez encore; mais prenez garde à vous : la mesure est à son comble, et le peuple est las de se voir votre jouet.
Pagina 509 - Constitution ne fait dépendre leur nomination que de ma volonté, et nulle part elle n'ordonne que j'accorde ma confiance aux patriotes, et que je chasse les contre-révolutionnaires ; il est vrai que l'Assemblée nationale a rendu des décrets utiles ou même nécessaires, et que j'ai refusé de les sanctionner, mais j'en avais le droit : il est sacré, car je le liens de la Constitution ; il est vrai enfin que la contre-révolution se fait, que le despotisme...
Pagina 531 - Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI, tant qu'existera le danger de la patrie ; mais la constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la constitution; nous l'invoquons à notre tour, et nous demandons sa déchéance. Cette grande mesure une fois portée, comme il est très- douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Pagina 510 - Était-ce nous défendre que de paralyser sans cesse le gouvernement par la désorganisation continuelle du ministère? La constitution vous laissa-t-elle le choix des ministres pour notre bonheur ou notre ruine ? Vous fit-elle chef de l'armée pour notre gloire ou notre honte? Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives, pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu...
Pagina 91 - C'est que je ne me suis point assurée de votre bonheur, et que je ne me pardonnerais jamais de l'avoir troublé. C'est que j'ai cru vous voir l'attacher, du moins en partie, à des moyens que je crois faux, à une espérance que je dois interdire.
Pagina 453 - La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause; qu'on a créé par de grands efforts, qui s'élève au milieu des inquiétudes et qu'on aime par ce qu'il coûte, autant que par ce qu'on en espère. Toutes les atteintes qu'on lui porte sont des moyens d'enflammer l'enthousiasme pour elle. « A quel point cet enthousiasme va-t-il monter, à l'instant...