La révolution, maitresse d'école

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V. Lecoffre, 1879 - 83 pagina's
 

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Pagina 49 - II est temps, disent-ils, que les théories se taisent devant « les faits. Point d'instruction sans éducation, et point « d'éducation sans morale et sans religion. Les professeurs « ont enseigné dans le désert, parce qu'on a proclamé « imprudemment qu'il ne fallait jamais parler de religion
Pagina 77 - Associations, tant agricoles qu'industrielles; «6. La question sociale ne pouvant trouver sa solution définitive et réelle que sur la base de la solidarité internationale ou universelle des travailleurs de tous les pays, l'Alliance repousse toute politique fondée sur le soi-disant patriotisme et sur la rivalité des nations; «7. Elle veut l'Association universelle de toutes les Associations locales par la Liberté.
Pagina 56 - ... mécaniques conditions; il faut que l'éducation populaire soit donnée et reçue au sein d'une atmosphère religieuse, que les impressions et les habitudes religieuses y pénètrent de toutes parts. La religion n'est pas une étude...
Pagina 22 - LES PAROISSES POUR L'INSTRUCTION DE «TOUS LES ENFANTS, ET NOMMÉMENT DE CEUX DONT LES PÈRES ET MÈRES ONT FAIT PROFESSION DE LA RELIGION PRÉTENDUE RÉFORMÉE» ART. IX. — Voulons que l'on établisse, autant qu'il sera possible, des maîtres et des maîtresses dans toutes les paroisses où il n'y en a point, pour instruire tous les enfants...
Pagina 3 - Ici s'élève une question bien importante. L'institution publique des enfants sera-t-elle d'obligation pour les parents, ou les parents auront-ils seulement la faculté de profiter de ce bienfait national ? D'après les principes, tous doivent y être obligés. - Pour l'intérêt public, tous doivent y être obligés.
Pagina 48 - L'instruction est nulle depuis dix ans; il faut prendre la religion pour base de l'éducation.
Pagina 4 - Il est temps de rétablir ce grand principe qu'on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la République avant d'appartenir à leurs parents.
Pagina 48 - L'éducation publique est presque nulle partout , la génération qui vient de toucher à sa vingtième année est irrévocablement sacrifiée à l'ignorance, et nos tribunaux, nos magistratures ne nous offrent que des élèves des anciennes Universités...
Pagina 51 - ... c'est un être élevé d'une manière exceptionnelle. Celui que nous voyons tous les jours est un collégien mal peigné, assez mal appris, infecté de quelque vice grossier qui a déjà détruit dans son être la sainteté du premier idéal. Ou si par miracle le pauvre enfant a échappé à...
Pagina 4 - Je demande que vous décrétiez que, depuis l'âge de cinq ans jusqu'à douze pour les garçons, et jusqu'à onze pour les filles, tous les enfants sans distinction et sans exception seront élevés en commun, aux dépens de la République; et que tous, sous la sainte loi de l'égalité, recevront mêmes vêtements, même nourriture, même instruction, mêmes soins.

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