Voltaire et la société au XVIIIe siècle: Voltaire aux DélicesDidier et cie., 1873 |
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Voltaire et la société française au XVIIIe siècle, Volume 4 Gustave Desnoiresterres Volledige weergave - 1871 |
Voltaire et la société française au XVIIIe siècle, Volume 4 Gustave Desnoiresterres Volledige weergave - 1870 |
Voltaire et la société française au XVIIIe siècle, Volume 4 Gustave Desnoiresterres Volledige weergave - 1870 |
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Populaire passages
Pagina 119 - La nature et l'hymen, voilà les lois premières, Les devoirs, les liens des nations entières : Ces lois viennent des dieux; le reste est des humains.
Pagina 132 - M. Chappuis m'apprend que votre santé est bien mauvaise ; il faudrait la venir rétablir dans l'air natal, jouir de la liberté, boire avec moi du lait de nos vaches, et brouter nos herbes.
Pagina 134 - Frappé de voir ce pauvre homme , accablé , pour ainsi dire , de prospérités et de gloire , déclamer toutefois amèrement contre les misères de cette vie , et trouver toujours que tout...
Pagina 15 - Il semble, en lisant les histoires, que la terre n'ait été faite que pour quelques souverains, et pour ceux qui ont servi leurs passions; tout le reste est négligé. Les historiens imitent en cela quelques tyrans dont ils parlent; ils sacrifient le genre humain à un seul homme.
Pagina 74 - Denis et moi, à faire bâtir des loges^pour nos amis et pour nos poules. Nous faisons faire des carrosses et des brouettes; nous plantons des orangers et des oignons, des tulipes et des carottes; nous manquons de tout; il faut fonder Carthage.
Pagina 94 - Je suis honteux d'avoir tant avancé un ouvrage si frivole, et qui n'est point fait pour voir le jour; mais après tout, on peut encore plus mal employer son temps. Je veux que cet ouvrage serve quelquefois à divertir mes amis, mais je ne veux pas que mes ennemis puissent jamais en avoir la moindre connaissance.
Pagina 423 - Châtelet est de votre sentiment sur la Chartreuse. Je n'ai point lu les Adieux aux révérends pères ; mais je suis fort aise qu'il les ait quittés. Un poète de plus et un jésuite de moins, c'est un grand bien dans le monde.
Pagina 137 - ... vous philosophez paisiblement sur la nature de l'âme; et si le corps ou le cœur souffre, vous avez Tronchin pour médecin et pour ami : vous ne trouvez pourtant que mal sur la terre; et moi, homme obscur, pauvre, et tourmenté d'un mal sans remède , je médite avec plaisir dans ma retraite , et trouve que tout est bien. D'où viennent ces contradictions apparentes? Vous l'avez vous-même expliqué : vous jouissez , mais j'espère; et l'espérance embellit tout.
Pagina 85 - C'est en conférant avec lui sur cet ouvrage d'un caractère noble et d'un genre aussi neuf, qu'il me dit : « Mon ami, vous avez les inflexions de la voix naturellement douces ; gardez-vous bien d'en laisser échapper quelques-unes dans le rôle de Gengis.
Pagina 169 - Le clergé de Genève a des mœurs exemplaires : les ministres vivent dans une grande union; on ne les voit point, comme dans d'autres pays, disputer entre eux avec aigreur sur des matières inintelligibles, se persécuter mutuellement, s'accuser indécemment auprès des magistrats...