Recueil de pièces authentiques sur le captif de Ste.-Hélène: de mémoires et documens écrits ou dictés par l'empereur Napoléon. Suivis de lettres de MM. le grand-maréchal comte Bertrand, le comte Las Cases, le général baron Gourgaud, le général comte Montholon, les docteurs Warden, O'Meara et Autommarchi, et plusieurs personnages de haute distinction, Volume 4

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Populaire passages

Pagina 195 - Styrie et laisse loin derrière elle l'Italie et les principaux établissements de l'armée, où il ne reste qu'un petit nombre de bataillons, voici la conduite que tient le gouvernement de Venise : i...
Pagina 5 - Quant à la constitution en ellemême, elle était préférable sans doute à ce qui existait , et, sur ce point , tous les partis étaient d'accord. Les uns, il est vrai, eussent voulu un président au lieu de cinq directeurs; les autres auraient désiré un conseil plus populaire ; mais, en général, on vit cette nouvelle constitution avec plaisir.
Pagina 197 - Dezenzano, il faut encore se battre : les Français sont partout peu nombreux, mais ils savent bien qu'on ne compte pas le nombre des bataillons ennemis lorsqu'ils ne sont composés que d'assassins.
Pagina 9 - ... fait, exerçaient tous les pouvoirs, et gênaient toutes les opérations du général; il ajouta qu'il avait été témoin de l'événement de la rue Vivienne, que les commissaires avaient été les plus coupables, et s'étaient pourtant trouvés au sein de l'assemblée des accusateurs triomphants. Frappé de ces raisons, mais dans l'impossibilité de destituer les commissaires, sans une longue discussion dans l'assemblée...
Pagina 17 - Il fallait une activité, une dextérité peu communes, pour surmonter tant d'obstacles, et maintenir le calme dans la capitale, en dépit de circonstances si fâcheuses et si graves. La Société du Panthéon donnait chaque jour plus d'inquiétudes au Directoire.
Pagina 180 - Le second parti qu'on nous propose, celui de la patience et du temps, est aussi mauvais que le premier. Les circonstances politiques ne sont plus aujourd'hui les mêmes, les temps sont bien changés ; la crise où nous sommes ne ressemble à aucune de celles dont a triomphé la vieille existence de la république : nous ne saurions prendre conseil de nos ancêtres.
Pagina 205 - Ah ! Madame, au nom de ce que vous avez de plus cher au monde, de votre gloire, de votre avenir, faites tout pour sauver votre époux; l'ombre de Marie-Thérèse vous l'ordonne!...
Pagina 6 - On se prépara à la journée du 13 vendémiaire. Le général Bonaparte, attaché depuis quelques mois à la direction du mouvement des armées de la République, était dans une loge à Feydeau ', lorsque de ses amis le prévinrent de la scène singulière qui se passait. Il fut curieux d'observer les détails d'un si grand spectacle. Voyant les troupes conventionnelles repoussées, il courut aux tribunes de l'assemblée pour y juger de l'effet de cette nouvelle, et suivre les développements et...
Pagina 18 - Napoléon, touché de la nature de sa demande, et des grâces de son âge, lui accorda ce qu'il demandait : Eugène se mit à pleurer en voyant l'épée de son père. Le général en fut touché, et lui témoigna tant de bienveillance que...
Pagina 26 - Berne leur levier, leur point d'appui. Il s'agissait de profiter de la grande influence que nous venions d'acquérir en Europe, pour détruire la prépondérance de nos ennemis en Suisse. Le général d'Italie approuvait fort le ressentiment du Directoire : il pensait que le moment était venu d'assurer à la France l'influence politique de la Suisse; mais il ne croyait pas nécessaire pour cela de bouleverser ce pays.

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