Mémoires du duc de Luynes sur la cour de Louis XV (1735-1758)

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Firmin didot frères, fils et cie., 1863
 

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Fréquemment cités

Page 276 - Toute puissance m'a été donnée dans le ciel et sur la terre. Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit...
Page 267 - Fait au Conseil d'Etat du Roi, Sa Majesté y étant, tenu à Versailles le unze septembre mil sept cent soixante dix neuf.
Page 281 - ... des pénitences salutaires, mais de véritables peines spirituelles, par les jugements ou par les censures que les premiers pasteurs ont droit de prononcer et de manifester, et qui sont d'autant plus redoutables, qu'elles produisent leur effet sur l'âme du coupable, dont la résistance n'empêche pas qu'il ne porte, malgré lui, la peine à laquelle il est condamné; mais qu'à la puissance temporelle seule appartient, primitivement à toute autre autorité, d'employer les peines temporelles...
Page 419 - Je les sacrifie de bon cœur à ceux qui croient augmenter leur réputation en diminuant celle des autres. Je n'ai ni la folie ni la vanité de certains auteurs. Les cabales des gens de lettres me paraissent l'opprobre de la littérature. Je n'en estime cependant pas moins les honnêtes gens qui les cultivent. Les chefs de cabales sont seuls avilis à mes yeux.
Page 279 - Juges de la renvoyer auxdits Prélats, de leur donner l'aide dont ils auront besoin pour l'exécution des censures qu'ils en pourront faire, et de procéder à la punition des coupables, sans préjudice à nosdites Cours et Juges de pourvoir par les autres voies qu'ils estimeront convenables à la réparation du scandale, et trouble de l'ordre et tranquillité publique, et contravention aux Ordonnances, que la publication de ladite doctrine aura pu causer.
Page 343 - Diatribe du docteur Akakia, médecin du Pape, décret de l'Inquisition et rapport des professeurs de Rome au sujet d'un prétendu président (par Voltaire) . Rome (Leipzig), 1753, pet.
Page 419 - Il n'éloit pas nécessaire .que vous prissiez le prétexte du besoin que vous me dites avoir des eaux de Plombières, pour me demander votre congé.
Page 276 - Je vous dis en vérité que tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel.
Page 261 - L'impie en devient plus téméraire-, l'audace est portée à son comble; et il étoit réservé à nos jours de voir soutenir sans réclamation dans la première université du monde chrétien une thèse publique où l'on établit par système tous les faux principes de l'incrédulité. Votre parlement, Sire, qui, par l'autorité que vous lui avez confiée, doit principalement veiller à ce qui intéresse la religion, s'est élevé à la vue d'un pareil scandale.
Page 466 - ... me donner le spectacle de vos artifices et je m'amusai de vous voir débiter avec gravité la nécessité de votre voyage fabuleux aux eaux de Plombières. En vérité, nos médecins se sont avisés bien tard de les recommander à leurs malades : je plains le chirurgien du roi de France et votre nièce qui vous attendent vainement à ces bains fameux; je ne doute pas que vous ne soyez rétabli. Il ya apparence que les imprimeurs de cette ville vous ont purgé d'une surabondance de fiel. Puisse...

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