Gouttes de rosée: French lyric poemsLeypoldt & Holt, 1866 - 188 pagina's |
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... Mère . Mme . Louise Colet L'Enfant , voyant l'Aïeule . Couplets de Marie . Planard La jeune Fille à la Danse . Amédée de Beauplan 78 80 82 V. Hugo . 83 84 • 85 • Le petit Pierre . Boucher de Perthes 86 Villanelle . La pauvre Fille ...
... Mère . Mme . Louise Colet L'Enfant , voyant l'Aïeule . Couplets de Marie . Planard La jeune Fille à la Danse . Amédée de Beauplan 78 80 82 V. Hugo . 83 84 • 85 • Le petit Pierre . Boucher de Perthes 86 Villanelle . La pauvre Fille ...
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... Habitants des buissons ? D'où vient que tout respire La joie en vos chansons ? - Sur la branche légère Ne vois - tu pas les nids , Où , gardés par leur mère , S'endorment nos petits ? LE NID . -En jouant sous l'ombrage , Hélas !
... Habitants des buissons ? D'où vient que tout respire La joie en vos chansons ? - Sur la branche légère Ne vois - tu pas les nids , Où , gardés par leur mère , S'endorment nos petits ? LE NID . -En jouant sous l'ombrage , Hélas !
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... ! pourquoi faire ainsi le tourment ? Ce nid , ce doux mystère , Que vous guettez d'en bas , C'est l'espoir du printemps , C'est l'amour d'une mère ! ... Enfants , n'y touchez pas ! 25 26 26 LE NID . Qui chantera Dieu , la 3.
... ! pourquoi faire ainsi le tourment ? Ce nid , ce doux mystère , Que vous guettez d'en bas , C'est l'espoir du printemps , C'est l'amour d'une mère ! ... Enfants , n'y touchez pas ! 25 26 26 LE NID . Qui chantera Dieu , la 3.
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... mère ! ... Enfants , n'y touchez pas ! GUÉRIN . DE LE NID . E ce buisson de fleurs approchons - nous ensemble : Vois - tu ce nid posé sur la branche qui tremble ? Pour le couvrir , vois - tu les rameaux se ployer ? Les petits sont ...
... mère ! ... Enfants , n'y touchez pas ! GUÉRIN . DE LE NID . E ce buisson de fleurs approchons - nous ensemble : Vois - tu ce nid posé sur la branche qui tremble ? Pour le couvrir , vois - tu les rameaux se ployer ? Les petits sont ...
Pagina 35
... mère comme toi ? Vois tu là - bas , sur la rive de France , Ce seuil aimé qui s'est ouvert pour moi ? Va ! portes - y le rameau d'espérance ; Ne suis - je pas son oiseau comme toi ? Ne me plains pas . Ah ! si la tyrannie De mon pays ...
... mère comme toi ? Vois tu là - bas , sur la rive de France , Ce seuil aimé qui s'est ouvert pour moi ? Va ! portes - y le rameau d'espérance ; Ne suis - je pas son oiseau comme toi ? Ne me plains pas . Ah ! si la tyrannie De mon pays ...
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Adieu adieu mélancolique ADIEUX DE MARIE ailes âme ANDRÉ CHÉNIER Ange aux jolis beau BELLE AU BOIS berceau blanc BOIS RÊVANT BOUCHER DE PERTHES Bout du Monde bruit chanson chante charmant pays chien noir court ciel cieux cœur CORRÈGE Coulez danse Dieu dois tant chérir Dormez Dors douce douleurs doux écoutons ÉMILE GIRARDIN feuille FLEUR DU SOUVENIR flocon d'or flots FRÉDÉRIC BÉRAT front Hélas heureuse enfance HIPPOLYTE LUCAS HUGO J'ai JEANNE D'ARC Jephté jour de l'an joyeux l'âme l'ange l'aurore l'enfant L'HIRONDELLE l'onde là-haut larmes loin la belle LOUISE COLET MARIE STUART mère Nanna m'appelle noir court devant nuage nuit parfum patrie pauvre jouvencelle PETIT FRÈRE Piétro Pimpon d'or PIMPON DE ROSE pleurs prière quitter c'est mourir rameaux rayon rire si rose ROMARIN ruisseau s'en va rêvant seul soir solitaire sommeil sourire Souviens-toi De moi suis-je terre tombe triste TRISTESSE vermeille vêtu de noir vîte voix
Populaire passages
Pagina 42 - Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Pagina 119 - J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaîté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté . Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu parle, il faut qu'on lui réponde Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré.
Pagina 139 - O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur. De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Pagina 140 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Pagina 108 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et, rose, elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Pagina 40 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Pagina 130 - Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter c'est mourir.
Pagina 56 - CHÉNIKR. /ORSQUB l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux.
Pagina 114 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Pagina 145 - Écouter dans son cœur l'écho de son génie; Chanter, rire, pleurer, seul, sans but, au hasard; D'un sourire, d'un mot, d'un soupir, d'un regard Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme, Faire une perle d'une larme : Du poète ici-bas voilà la passion, Voilà son bien, sa vie et son ambition.