Gouttes de rosée: French lyric poemsLeypoldt & Holt, 1866 - 188 pagina's |
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... devant moi ! CH . DOVALLE . LE DINDON . MOI , je me pare ; Moi , je me carre ; Moi , je suis gras et beau ! Ma plume est noire , Mon dos de moire , De rubis mon jabot . Voyez ma tête , Ma rouge aigrette , 33 34 L'HIRONDELLE . Voyez ...
... devant moi ! CH . DOVALLE . LE DINDON . MOI , je me pare ; Moi , je me carre ; Moi , je suis gras et beau ! Ma plume est noire , Mon dos de moire , De rubis mon jabot . Voyez ma tête , Ma rouge aigrette , 33 34 L'HIRONDELLE . Voyez ...
Pagina 64
... vous devez être las ! Ne pleurez pas , mon petit frère ; Petit frère , ne pleurez pas ! Que faire , à moins que je ne prie ? Voyez , je me mets à genoux LE JOUR DE L'AN . Devant cette Vierge Marie , Le petit Frère Mme A Tastu •
... vous devez être las ! Ne pleurez pas , mon petit frère ; Petit frère , ne pleurez pas ! Que faire , à moins que je ne prie ? Voyez , je me mets à genoux LE JOUR DE L'AN . Devant cette Vierge Marie , Le petit Frère Mme A Tastu •
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French lyric poems L. Pylodet. LE JOUR DE L'AN . Devant cette Vierge Marie , Qui porte un enfant comme vous . O bonheur ! voici notre mère , L'entendez - vous hâter ses pas ? Ne pleurez pas , mon petit frère ; Petit frère , ne pleurez ...
French lyric poems L. Pylodet. LE JOUR DE L'AN . Devant cette Vierge Marie , Qui porte un enfant comme vous . O bonheur ! voici notre mère , L'entendez - vous hâter ses pas ? Ne pleurez pas , mon petit frère ; Petit frère , ne pleurez ...
Pagina 88
... Devant l'église du hameau . Loin de mes parents exilée , De leurs embrassements j'ignore la douceur ; Et les enfants de la vallée Ne m'appellent jamais leur sœur ; Je ne partage pas les jeux de la veillée ; Jamais , sous son toit de ...
... Devant l'église du hameau . Loin de mes parents exilée , De leurs embrassements j'ignore la douceur ; Et les enfants de la vallée Ne m'appellent jamais leur sœur ; Je ne partage pas les jeux de la veillée ; Jamais , sous son toit de ...
Pagina 93
... devant nous se fanent sur leur tige ; Quand trompé par l'espoir , froissé par le destin , Nous suivons lentement un sentier incertain ; Quand personne n'est là pour nous offrir son aide , Il est encor pourtant , il est un doux remède ...
... devant nous se fanent sur leur tige ; Quand trompé par l'espoir , froissé par le destin , Nous suivons lentement un sentier incertain ; Quand personne n'est là pour nous offrir son aide , Il est encor pourtant , il est un doux remède ...
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Adieu adieu mélancolique ADIEUX DE MARIE ailes âme ANDRÉ CHÉNIER Ange aux jolis beau BELLE AU BOIS berceau blanc BOIS RÊVANT BOUCHER DE PERTHES Bout du Monde bruit chanson chante charmant pays chien noir court ciel cieux cœur CORRÈGE Coulez danse Dieu dois tant chérir Dormez Dors douce douleurs doux écoutons ÉMILE GIRARDIN feuille FLEUR DU SOUVENIR flocon d'or flots FRÉDÉRIC BÉRAT front Hélas heureuse enfance HIPPOLYTE LUCAS HUGO J'ai JEANNE D'ARC Jephté jour de l'an joyeux l'âme l'ange l'aurore l'enfant L'HIRONDELLE l'onde là-haut larmes loin la belle LOUISE COLET MARIE STUART mère Nanna m'appelle noir court devant nuage nuit parfum patrie pauvre jouvencelle PETIT FRÈRE Piétro Pimpon d'or PIMPON DE ROSE pleurs prière quitter c'est mourir rameaux rayon rire si rose ROMARIN ruisseau s'en va rêvant seul soir solitaire sommeil sourire Souviens-toi De moi suis-je terre tombe triste TRISTESSE vermeille vêtu de noir vîte voix
Populaire passages
Pagina 42 - Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Pagina 119 - J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaîté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté . Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu parle, il faut qu'on lui réponde Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré.
Pagina 139 - O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur. De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Pagina 140 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Pagina 108 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et, rose, elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Pagina 40 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Pagina 130 - Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter c'est mourir.
Pagina 56 - CHÉNIKR. /ORSQUB l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux.
Pagina 114 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Pagina 145 - Écouter dans son cœur l'écho de son génie; Chanter, rire, pleurer, seul, sans but, au hasard; D'un sourire, d'un mot, d'un soupir, d'un regard Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme, Faire une perle d'une larme : Du poète ici-bas voilà la passion, Voilà son bien, sa vie et son ambition.