 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1828 - 542 pagina’s
...tourmenter, à faire verser des larmes : j'aurais voulu qu'il ne fît que des heureux. La convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous les...inquiétude et sans effroi ; j'aurais voulu qu'elle fat le centre de toutes les affections et de toutes les espérances. On a cherché à consommer la... | |
 | France. Convention nationale - 1828 - 544 pagina’s
...tourmenter, à faire verser des larmes : j'aurais voulu qu'il ne fît que des heureux. La convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous les...se fixent pas toujours sur elle sans inquiétude et san* effroi ; j'aurais voulu qu'elle fût le centre de toutes les affections et de toutes les espérances.... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1836 - 498 pagina’s
...tourmenter , à faire verser des larmes. J'aurais voulu qu'il ne fît que des heureux. La Convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous les...toutes les affections et de toutes les espérances. On cherche à consommer la révolution par la terreur, j'aurais voulu la consommer par l'amour. Enfin,... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1836 - 986 pagina’s
...tourmenter , à faire verser des larmes. J'aurais voulu qu'il ne fit que des heureux. La Convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous les...qu'elle fût le centre de toutes les affections et de touies/es espérances. On cherche à consommer la révolution par la terreur, j'aurais voulu la consommer... | |
 | Georges Touchard-Lafosse - 1847 - 334 pagina’s
...tourmenter, à faire verser des larmes; j'aurais voulu qu'il ne fit que des heureux. La Convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous les...voulu qu'elle fût le centre de toutes les affections, de toutes les espérances. On a cherché à consommer la Révolution par la terreur; j'aurais voulu... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 616 pagina’s
...faire verser des larmes ; H j'aurais voulu que le patriotisme ne fit que des heureux. « On cherche à consommer la Révolution par la terreur, « j'aurais...pensé que , semblables aux prêtres et aux farouches i' ministres de l'inquisition, qui ne parlent de leur Dieu de « miséricorde qu'à la lueur des bûchers,... | |
 | Jules Michelet - 1850 - 656 pagina’s
...peut-être avec effroi, j'aurais voulu qu'elle fût le centre des affections et des espérances ! On croit consommer la Révolution par la terreur, j'aurais voulu la consommer par l'amour!... » Ces admirables paroles, si loin do la situation, émurent toute l'Assemblée, l'emportèrent dans... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1851 - 486 pagina’s
...tourmenter, à faire verser des larmes : j'aurais voulu que le patriotisme ne fit que des heureux. On cherche à consommer la révolution par la terreur. j'aurais...Enfin je n'ai pas pensé que, semblables aux prêtres etaux farouches ministres de l'inquisition, qui ne parlent de leur Dieu de miséricorde qu'à la lueur... | |
 | Louis Blanc - 1858 - 464 pagina’s
...à tourmenter, à faire verser des larmes : j'aurais voulu qu'il ne fît que des heureux. On cherche à consommer la Révolution par la terreur : j'aurais voulu la consommer par l'amour. Je n'ai pas pensé que, semblables aux prêtres et aux farouches ministres de l'inquisition, qui ne... | |
 | 1859 - 466 pagina’s
...qu'il ne fit que des heureux. La Convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous tes citoyens. Peut-être que leurs regards ne se fixent...toutes les espérances. On a cherché à consommer la Sévolution par la terreur, j'aurais voulu la consommer par l'amour. Enfin, je n'ai pas pensé que,... | |
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J'aurais voulu qu'il ne fît que des heureux. La Convention est le centre autour duquel doivent se rallier tous les citoyens. Peut-être que leurs regards ne se fixent pas toujours sur elle sans inquiétude et sans effroi. J'aurais voulu qu'elle fût... 
