 | Claude Bernard Petitot - 1820 - 544 pagina’s
...chose impossible ; sinon que pour tout guerdon <r (présent) je vous doint mon corps, le corps de ma P femme et le corps de mon enfant. » Aussitôt que...tant que le Dauphin eut la tête nue. Nous rapportons dette circonstance pour montrer la distance qui séparoit le vassal le plus puissant du fils de son... | |
 | Jacques Duclercq (seigneur de Beauvoir en Ternois) - 1823 - 430 pagina’s
...polraynescauray desservir; car c'est chose impossible , synon que pour tout guerdon , je vous donne mon corps , le corps de ma femme et le corps de mon enfant. » A icelles parolles le plus de ceulx qui estoient présents pleurèrent tant de joye, comme de pitié;... | |
 | Jacques Du Clerq (sieur de Beauvoir.) - 1823 - 432 pagina’s
...jenelepolraynescauraydesservir; car c'est chose impossible , synon que pour tout guerdon , je vous donne mon corps , le corps de ma femme et le corps de mon enfant. » A icelles parolles le plus de ceulx. qui estoient presents plourerent tant de joye, comme de pitié;... | |
 | Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1825 - 744 pagina’s
...vous me faites; je ne pourrais, je ne » saurais le reconnaître, sinon qu'en retour » je vous donne mon corps , le corps de ma » femme et le corps de mon enfant. » Tout le inonde pleurait de joie d'entendre les paroles d'affection de ces deux princes. Tel était... | |
 | Jacques Duclercq (seigneur de Beauvoir en Ternois) - 1826 - 554 pagina’s
...tête nue ; « Mon très chier oncle, je vous « remercie du bien et honneur que me faites; je ne a le pourrai ni saurai desservir (mériter), car c'est...et refusa de se relever tant que le Dauphin eut la tète nue. Nous rapportons cette circonstance pour montrer la distance qui séparoit le vassal le plus... | |
 | Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1826 - 534 pagina’s
...vous me faites; je ne pourrais, je ne saurais » le reconnaître, sinon qu'en retour je vous » donne mon corps , le corps de ma femme et » le corps de mon enfant. » Tout le monde pleurait de joie d'entendre les paroles d'affection de ces deux princes. Tel était... | |
 | Amable Guillaume Prosper Brugière De Barante - 1837 - 468 pagina’s
...cour de Bourgogne. « pourrais, je ne saurais le reconnaître, sinon « qu'en retour je vous donne mon corps , le corps « de ma femme et le corps de mon enfant. » Tout le monde pleurait de joie d'entendre les paroles d'affection de ces deux princes. Tel était... | |
 | Jean Alexandre C. Buchon - 1838 - 708 pagina’s
...nesçauray desservir, car c'est chose impossi« blé, synon' que pour tout guerdon je vous « donne mon corps, le corps de ma femme et le « corps de mon enfant.» A icelles parollesle plus de ceux qui estoient présents pleurèrent tant de joye comme de pitié ;... | |
 | Amable Guillaume Prosper Brugière de Barante - 1839 - 610 pagina’s
...vous me faites; je ne pourrais, je ne saurais le reconnaître, si» non qu'en retour je vous donne mon corps, le corps de ma femme » et le corps de mon enfant. » Tout le monde pleurait de joie d'entendre les paroles d'affection de ces deux princes. Tel était... | |
 | Adrien Jean Victor le Roux de Lincy - 1841 - 860 pagina’s
...porray ne scauray desservir, car c'est chose « impossible, sinon que pour tout guerdon je vous donne « mon corps, le corps de ma femme et le corps de mon « enfant. « A icelles parolles le plus de ceux qui estoient •• présens plourèrent tant de joie rçjmme... | |
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chier oncle, je vous remercie du bien et de l'honneurque « vous me faites ; je ne le porray ne scauray desservir, car « c'est chose impossible, sinon que pour tout guerdon je « vous donne mon corps, le corps de ma femme et le corps 
