| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pagina’s
...assurance d'autant plus ferme qu'elle étoit simple et résidoit plus dans mon ame que dans mon maintien. Le mépris que mes profondes méditations m'avaient...mœurs , les maximes et les préjugés de mon siècle, me rendoit insensible aux railleries de ceux qui les avoient , et j'écrasois leurs petits bons-mots... | |
| Victor-Donatien de Musset - 1827 - 510 pagina’s
...d'où se répandit dans mes premiers livres ce feu « vraiment céleste qui m' échauffait en dedans, et « dont, pendant quarante ans, il ne s'était pas...mépris « que mes profondes méditations m'avaient ins« piré pour les mœurs, les maximes et les préjugés « de mon siècle , me rendait insensible... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pagina’s
...voilà d'où se répandit dans œs premiers livres ce feu vraiment céleste qui m'fchauffait en dedans, et dont pendant quarante ans il ne s'était pas échappé la moindre éùnceiie, parce qu'il n'était pas encore allumé. J'étais vraiment transformé; mes amis, ns connaissances... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 508 pagina’s
...d'où se répandit dans mes premiers livres ce feu « vraiment céleste qui m'échauffait en dedans, et « dont, pendant quarante ans, il ne s'était pas...mépris « que mes profondes méditations m'avaient ins« piré pour les mœurs, les maximes et les préjugés « de mon siècle , me rendait insensible... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 pagina’s
...d'autant plus ferme qu'elle était simple , et résidait dans mon âme plus que dans mou maintien. Le mépris que mes profondes méditations m'avaient...mœurs , les maximes et les préjugés de mon siècle, me rendait insensible aux railleries de ceux qui les avaient, et j'écrasais leurs petits bons mots... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pagina’s
...éloquence, voilà d'où se répandit dans mes premiers livres ce feu vraiment céleste qui m'embrasait, et dont pendant quarante ans il ne s'était pas échappé...allumé. J'étais vraiment transformé; mes amis, mes connaissances ne me reconnaissaient plus. Je n'étais plus cet homme timide et plutôt honteux... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pagina’s
...éloquence, voilà d'où se répandit dans mes premiers livres ce feu vraiment céleste qui m'embrasait, et dont pendant quarante ans il ne s'était pas échappé...allumé. J'étais vraiment transformé; mes amis, mes connaissances ne me reconnaissaient plus. Je n'étais plus cet homme timide et plutôt honteux... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pagina’s
...vraiment céleste qui m'embrasait, et dont pendant quarante ans il ne s'était pas échappé la inoindre étincelle, parce qu'il n'était pas encore allumé. J'étais vraiment transformé ; mes amis, mes connaissances ne me reconnaissaient plus. Je n'étais plus cet homme timide ot plutôt honteux... | |
| 1867 - 1068 pagina’s
...de la vertu. Cette ivresse avait commencé dans ma tête, mais elle avait passé dans mon cœur... Le mépris que mes profondes méditations m'avaient...mœurs, les maximes et les préjugés de mon siècle me rendaient insensible aux railleries de ceux qui les avaient, et j'écrasais leurs petits bons mots... | |
| Alphonse Jobez - 1869 - 660 pagina’s
...cœur d'homme, dont je ne fusse capable... J'étais vraiment transformé, mes amis, mes connaissances ne me reconnaissaient plus... Le mépris que mes profondes...mœurs, les maximes et les préjugés de mon siècle, me rendaient insensible aux railleries de ceux qui les avaient, et j'écrasais leurs petits bons mots... | |
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