Les méditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent, je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Oeuvres de J.J. Rousseau - Pagina 97door Jean Jacques Rousseau - 1826Volledige weergave - Over dit boek
| Helen Maria Williams - 1802 - 282 pagina’s
...plus de légèreté dans le » corps , plut de sérénité dan» l'esprit. . . . Les médiii talions y prennent je ne sais quel caractère grand et »...sublime , proportionné aux objets qui nous frappent, 11 je ne sait quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre il ni de sensuel. 11 semble qu'en s'élevant... | |
| Etienne François de Lantier - 1803 - 492 pagina’s
...facilité dans la respiration, plus de légèreté dans le corps , plus de sérénité dans l'esprit. Les méditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime , proportionné aux objets qui rtous frappent ; je ne sais quelle volupté tranquille , qui n'a rien d'âcre ni de sensuel : il semble... | |
| 1810 - 402 pagina’s
...autre homme, n Sur les hautes mon» tagnes, dit JJ, les méditations prennent un carac,, tère grand , sublime , proportionné aux objets qui » nous frappent ; je ne sais quelle volupté tranquille •-•- qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en » s'élevant au-dessus du séjour des... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1806 - 348 pagina’s
...montagnes où l'air est pur et subtil , on se sent plus de facilité dans la respiration , plus de légèreté dans le corps , plus de sérénité dans l'esprit ; les plaisirs y sont moins ardens , les passions plus modérées. Les méditations * y prennent , je ne sais quel caractere grand... | |
| 1806 - 640 pagina’s
...les hautes » montagnes , dit JJ , les méditations prennent un (0 La Fontaine. » caractère grand , sublime , proportionné aux objets » qui nous frappent ; je ne sais quelle volupté tran» quille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble » qu'en s'élevant au-dessus du séjour... | |
| 1807 - 438 pagina’s
...montagnes , où l'air est » pur et subtil (dit-il dans sa Lettre sur le Valais), » les méditations prennent je ne sais quel caractère » grand et sublime...proportionné aux objets qui » nous frappent.... Je ne doute pas, ajoute-t-il, >V qu'aucune agitation violente pût tenir contre un » pareil séjour prolongé.... | |
| François-Claude Turlot - 1810 - 460 pagina’s
...facilité dans la respiration, plus de légèreté dans le corps, plus de sérénité dans l'esprit. Les méditations y prennent je ne sais quel caractère...nous frappent , je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre ni de sensuel ; il semble qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes, on... | |
| John Playfair - 1815 - 714 pagina’s
...sérénité dans l'esprit; les plaisirs y sont moins ardens, les passions plus modérées. Les meditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime..., proportionné aux objets qui nous frappent , je no sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en s'élevant au-dessus... | |
| John Playfair - 1815 - 678 pagina’s
...montagnes où l'air est pur et snbtil . on se sent plus de facilité dans la respiration , plus de légèreté dans le corps . plus de sérénité dans l'esprit; les plaisirs y sont moins ardens, les passions plus modérées. Les meditations y prennent je ne sais quel caractère grand et... | |
| Sir Richard Colt Hoare - 1815 - 406 pagina’s
...plaisirs g sont moins ardens, les passions plus modcrées. Les mcditations g prennent je ne sçais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent ; je ne sçais quelle volupté tranquille; qui n'a rien d'acre, et de sensuel. Il semble qu'en s'elevant au... | |
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