sér. La révolution, le consulat, l'empireAmyot, 1865 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
acte Alexandre Duval applaudissements arrêté assez auteurs avaient beau Beaumarchais BITRI BOUCLIAC c'était censeur chant Charles Charles IX Chénier citoyen comédie Comédie-Française comédiens comique comité Contat costume couplets curé Dazincourt décret devant directeurs Directoire donner Dorval dramatique drame Ducis DUFOUR Dugazon Dupaty DURELIEF femme fête genre gens guerre homme j'ai Jacobins jeune jouer jour juger l'Ami des Lois l'auteur l'échafaud l'Empire l'histoire l'Opéra l'Opéra-Comique LADY MACBETH lettre liberté LIMODIN Louis Louis XVI Louise Contat MACBETH Mariage de Figaro Mars Marseillaise Martainville ment Mlle Molière Monsieur municipal musique n'avait n'était Napoléon Nicodème œuvre Olympe de Gouges ouvrage Pamela patriote père personnages peuple pièce poëte police politique premier prince public répertoire représentation républicain République reste Révolution révolutionnaire rôle Rouget de Lisle rue de Richelieu Saint-Cloud salle sans-culotte scène Ségur seul soldats spectacle succès talent Talma teur théâtrale théâtre Feydeau Théâtre-Français tion tragédie Vaudeville victoire Voilà
Fréquemment cités
Page 323 - Paris, de p1èces républicaines , ordonne aussi que tout théâtre sur lequel seraient représentées des pièces tendant à dépraver l'esprit public et à réveiller la honteuse superstition de la royauté, sera fermé, et les directeurs arrêtés , pour être punis suivant la rigueur des lois; Que...
Page 177 - Toute une ville entière, avec pompe bâtie, Semble d'un vieux fossé par miracle sortie, Et nous fait présumer, à ses superbes toits, Que tous ses habitants sont des dieux ou des rois.
Page 9 - Je vis hier, du fond d'une coulisse, L'extravagante nouveauté Qui, triomphant de la police, Profane des Français le spectacle enchanté. Dans ce drame effronté chaque acteur est un vice. Bartholo nous peint l'avarice, Almaviva le séducteur, Sa tendre moitié, l'adultère, Et Doublemain un plat voleur.
Page 218 - J'ai du bois pour la moitié de mon hiver, un quartaut de vin dans ma cave, et dans mon tiroir, de quoi aller pendant deux mois. Mon petit dîner, qui est mon seul repas, est assuré pour quelque temps, comme vous le voyez; et je le prendrai, autant que je pourrai, chez moi et à la même heure.
Page 70 - Ce sont tous ces jongleurs, patriotes de places, D'un faste de civisme entourant leurs grimaces ; Prêcheurs d'égalité, pétris d'ambition : Ces faux adorateurs, dont la dévotion N'est qu'un dehors plâtré, n'est qu'une hypocrisie : Ces bons et francs croyants, dont l'âme apostasie, Qui, pour faire haïr le plus beau don des cieux, Nous font la liberté sanguinaire comme eux.
Page 13 - J'ai donné ma pièce au public pour l'amuser et pour l'instruire, non pour offrir à des bégueules mitigées le plaisir d'en aller penser du bien en petite loge , à condition d'en dire du mal en société.
Page 321 - Corps législatif ou du pouvoir exécutif, exciteraient le peuple à la révolte, troubleraient l'ordre ou la tranquillité publique, et attenteraient aux bonnes mœurs. Le ministre de la police mandera, dans le jour, tous les directeurs et entrepreneurs de chacun des spectacles de Paris; il leur fera lecture du présent arrêté, leur intimera, chacun à leur égard, les ordres qui y sont contenus; il surveillera l'exécution pleine et entière de toutes ses dispositions, et en rendra compte au...
Page 71 - Point de supplices, donc, la suite est naturelle, Point d'avares, les biens ne pouvant s'acquérir; D'intrigants, les emplois n'étant plus à courir; De libertins, la femme accorte et toute bonne Etant à tout le monde et n'étant à personne; Point de joueurs non plus, car sous mes procédés, Tombent les fabricants de cartes et de dés.
Page 283 - Je fis les paroles et l'air de ce chant, à Strasbourg, dans la nuit qui suivit la proclamation de la guerre, fin d'avril 1792.
Page 315 - Le Théâtre de la Nation, qui n'était rien moins que national, a été fermé. Cette disposition est une suite du décret du 2 août, portant qu'il ne serait joué sur les théâtres de la République que des pièces propres à animer le civisme des citoyens. La pièce de Paméla, comme celle de l'Ami des Loix, a fait époque sur la tranquillité publique.