Mémoires historiques et secrets de l'impératrice Joséphine: Marie-Rose Tascher de la Pagerie, première épouse de Napoléon Bonaparte, Volume 1L'auteur-éditeur, Dondey-Dupré père et fils, 1827 |
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aimait amie amis assez Augereau aujourd'hui madame aurait avaient Barras beau bientôt bonheur c'était célèbre cesse charme chef de l'armée cher cœur Côme Ier Convention nationale courage crainte Créole cruelle dame député Dès-lors destinées devait Directoire douleur Égypte enfans ennemis épouse époux Eugène Eugène de Beauharnais événemens faisait femme fille fils force fortune général en chef gloire gouvernement heureux Hoche homme instant j'ai j'avais jamais jeune Joséphine jour l'armée d'Italie l'Europe l'un larmes liberté long-tems Louis XVI madame Bonaparte madame de Beauharnais madame de Tascher madame de Vass madame Renaudin madame Tallien main maison de Médicis malheureux ment mont de Vénus mort n'avait n'était nation noble parens passé patrie père peuple plaisir politique pouvait premier république reste révolution s'était secret semblait sentimens sentiment serait seul soins soldats sorte souverain Tallien tems tendre tion triomphe Trois-Ilets trône trouva venait vicomte victime vint William Wurmser yeux
Populaire passages
Pagina 400 - ... lui-même à de nouvelles épreuves, il lèche cette main, instrument de douleur, qui vient de le frapper, il ne lui oppose que la plainte, et la désarme enfin par la patience et la soumission.
Pagina 399 - La présomption que cette infernale machination me suivra jusqu'au tribunal révolutionnaire ne me laisse aucun espoir de te revoir, mon amie, ni d'embrasser mes chers enfants. Je ne te parlerai point de mes regrets : ma tendre affection pour eux, l'attachement fraternel qui me lie à toi, ne peuvent te laisser aucun doute sur le sentiment avec lequel je quitterai la vie sous ces rapports. « Je regrette également de me séparer d'une patrie que j'aime, pour laquelle j'aurais voulu donner mille...
Pagina 430 - Je dois remercier Votre Sainteté des choses obligeantes contenues dans la lettre qu'elle s'est donné la peine de m'écrire. La paix entre la république française et Votre Sainteté vient d'être signée , je me félicite d'avoir pu contribuer à son repos particulier. J'engage Votre Sainteté à se...
Pagina 207 - ... autour de lui. Quand il monta les degrés de l'autel, on crut voir la victime sainte, s'offrant volontairement en sacrifice. Il redescendit ; et, traversant de nouveau les rangs en désordre, il revint s'asseoir auprès de la reine et de ses enfans.
Pagina 71 - Tout au milieu de ce bel exercice, je m'avisai de m'en faire une espèce de pronostic pour calmer mon inquiétude. Je me dis : Je m'en vais jeter cette pierre contre l'arbre qui est vis-à-vis de moi; si je le touche, signe de salut; si je le manque, signe de damnation.
Pagina 430 - J'envoie mon aide-de-camp , chef de brigade, pour exprimer à Votre Sainteté l'estime et la vénération parfaite que j'ai pour sa personne, et je la prie de croire au désir que j'ai de lui donner dans toutes les occasions les preuves de res.pect et de vénération , avec lesquelles j'ai l'honneiir d'être, ' » Son très-obéissant serviteur,
Pagina 291 - Soldats, vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience, le courage que vous montrez au milieu de ces rochers, sont admirables; mais ils ne vous procurent aucune gloire; aucun éclat ne rejaillit sur vous. Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir: vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance?
Pagina 456 - On ne gouverne point par des demi-mesures une nation éclairée; il faut de la force, de la suite et de l'unité dans tous les actes publics. (NAPOLÉON.) Quand, par cette pièce éloquente, A la couronne tu parvins) : Fut-ce au jugement des quarante ? Fut-ce à celui des...
Pagina 398 - ... de voir , disons-nous, cette dispersion applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. Et où était donc le crime de nos aïeux, pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour des fils tels que nous...
Pagina 400 - ... plus sensible au souvenir des bienfaits qu'à celui des outrages, il ne se rebute pas par les mauvais...