Discours et opinions de Jules Ferry, Volume 5A. Colin & cie, 1897 |
Overige edities - Alles bekijken
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
affaires étrangères anglais Applaudissements à gauche Applaudissements au centre avez avons bancs à gauche Bourée Brière de l'Isle budget cabinet Camille Pelletan Chambre Chine chose Clémenceau Cochinchine colonies commandant Fournier commission crédit crédits crois débat déclaration demande la parole dépêche diplomatique dire Discours discussion divers bancs duc de Broglie engagements Est-ce Exclamations française frontière garantie général GEORGES PERIN gouver gouvernement chinois Granet guerre Hué intérêts j'ai juillet JULES DELAFOSSE JULES FERRY Kroumirs l'Algérie l'Angleterre l'Annam l'Egypte l'expédition l'heure l'honneur l'honorable laisser Lang-Son Li-Hong-Chang Livre jaune Madagascar ment messieurs militaires millions ministre des affaires monsieur Mouvements divers n'avait national négociations nement Parlement PAUL DE CASSAGNAC pays Pékin politique coloniale PRÉSIDENT DU CONSEIL protectorat puissances question Raoul Duval Régence responsabilité Rumeurs séance serait seulement Shang-Hai situation sommes tion Tonkin traité de 1874 traité de Hué traité de Tien-Tsin traité du Bardo tribune Tseng Tsong-Li-Yamen Tunis Tunisie tunisienne vice-roi Voilà vote
Populaire passages
Pagina 426 - PROJET DE LOI. Le Président de la République française Décrète : Le projet de loi dont la teneur suit sera présenté à la Chambre des Députés par le...
Pagina 515 - C'est comme un immense steeple-chase sur la route de l'inconnu. De 1815 à 1850, l'Europe était casanière et ne sortait guère de chez elle. L'expédition d'Alger n'était, à l'origine, qu'un acte de haute police méditerranéenne. Les archipels de l'océan Pacifique, les rivages de l'Afrique occidentale, se colonisaient pied à pied, timidement, et comme au hasard : c'était l'époque des annexions modestes et à petits coups, des conquêtes bourgeoises et parcimonieuses. Aujourd'hui, ce sont...
Pagina 342 - Chine, s'engage : 1* à retirer immédiatement, sur ses frontières les garnisons chinoises du Tonkin ; 2° à respecter dans le présent et dans l'avenir, les traités directement intervenus ou à intervenir entre la France et la Cour de Hué.
Pagina 1 - Mais nous voulions le maintien du statu qtio, et chaque fois qu'une escadre turque approchait ou menaçait d'approcher de Tunis, nos vaisseaux se portaient vers cette côte, avec ordre de protéger le bey contre toute entreprise des Turcs.
Pagina 182 - Rayonner sans agir, sans se mêler aux affaires du monde, en se tenant à l'écart de toutes les combinaisons européennes, en regardant comme un piège, comme une aventure, toute expansion vers l'Afrique ou vers l'Orient, vivre de cette sorte, pour une grande nation...
Pagina 518 - La consommation européenne est saturée: il faut faire surgir des autres parties du globe de nouvelles couches de consommateurs, sous peine de mettre la société moderne en faillite, et de préparer, pour l'aurore du vingtième siècle, une liquidation sociale par voie de cataclysme, dont on ne saurait calculer les conséquences.
Pagina 474 - Il sera pourvu aux crédits ci-dessus au moyen des ressources générales du budget ordinaire de l'exercice 1885.
Pagina 333 - ART. 5. Dès que la présente Convention aura été signée, les deux Gouvernements nommeront leurs Plénipotentiaires, qui se réuniront, dans un délai de trois mois, pour élaborer un Traité définitif sur les bases fixées par les articles précédents.
Pagina 173 - Pelleta» raille beaucoup ; avec l'esprit et la finesse qui lui sont propres ; il raille, il condamne, et il dit : « Qu'est-ce que c'est que cette civilisation qu'on impose à coups de canon ? Qu'est-ce, sinon une autre forme de la barbarie ? Est-ce que ces populations de race inférieure n'ont pas autant de droits que vous ? Est-ce qu'elles ne sont pas maîtresses chez elles ? Est-ce qu'elles vous appellent ? Vous allez chez elles contre leur gré, vous les violentez, mais vous ne les civilisez...
Pagina 2 - Nous devons en conclure qu'il n'est pas dans la pensée de la Porte de méconnaître les engagements qu'elle a pris d'ancienne date envers nous à l'égard de Tunis, et qu'elle reconnaît que les intérêts spéciaux résultant pour nous de la possession de l'Algérie ne nous permettraient pas de laisser porter atteinte dans la Régence au statu quo dont la conservation est devenue un des principes, en quelque sorte traditionnels, de notre politique.