La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce ternie, est, ce me semble, cette disposition compagne de la faiblesse des organes, suite de la mobilité du diaphragme , de la vivacité de l'imagination , de la délicatesse... Paradoxe sur le comédien: ouvrage posthume - Page 52de Denis Diderot - 1830 - 101 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jules Janin - 1853 - 452 pages
...plus imperceptibles sensations! Voilà la force ingénue, irrésistible, qui incline le spectateur à compatir, à frissonner, à admirer, à craindre, à se troubler, à pleurer, à se trouver mal, à partager avec des angoisses, avec des rires, avec des larmes, la moindre parole... | |
| Paul Stapfer - 1880 - 732 pages
...c'est un principe de vie. « Qu'estce que la sensibilité, s'écrie Diderot, qui s'y connaissait, sinon cette disposition compagne de la faiblesse des organes,...l'imagination, de la délicatesse des nerfs, qui incline à perdre la raison, à exagérer, à mépriser, à dédaigner, à n'avoir aucune idée précise du vrai,... | |
| Henri Welschinger - 1880 - 542 pages
...sensibilité, dit-il, selon la seule acception qu'on « ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, « cette disposition compagne de...de la mobilité du diaphragme, de la vivacité de l'imagina• tion, de la délicatesse des nerfs, qui incline à compatir, à « frissonner, à admirer,... | |
| Denis Diderot - 1881 - 360 pages
...féroces. La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, cette disposition compagne de la...l'imagination, de la délicatesse des nerfs, qui incline à compâtir, à frissonner, à admirer, à craindre, à se troubler, à pleurer, à s'évanouir, à secourir,... | |
| Denis Diderot - 1887 - 332 pages
...sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce ternie, est,.ce nie semble, cette disposition compagne de la faiblesse...la vivacité de l'imagination, de la délicatesse dos nerfs, qui incline à com,patir, à frissonner, à admirer, à craindre, à se troubler, A pleurer,... | |
| Léo Claretie - 1888 - 246 pages
...passer pour une âme de pierre. On affectionnait ce que Diderot appelle « cette disposition composée de la faiblesse des organes, suite de la mobilité...admirer, à craindre, à se troubler, à pleurer, a s'évanouir. » C'est l'époque où Greuze peint Le Père de Famille lisant la Bible (1755) et V... | |
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 402 pages
...qu'abusé? La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, cette disposition, compagne de...la vivacité de l'imagination, de la délicatesse de l'imagination, qui incline à compatir, ù frissonner, & admirer, â craindre, à se troubler, ù... | |
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 390 pages
...qu'abusé? La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, cette disposition, compagne de...la vivacité de l'imagination, de la délicatesse de l'imagination, qui incline à compatir, à frissonner, à admirer, à craindre, à se troubler,... | |
| Ferdinand Brunetière - 1893 - 396 pages
...qu'abusé? La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, cette disposition, compagne de...mobilité du diaphragme, de la vivacité de l'imagination, Je la délicatesse de l'imagination, qui incline à compatir, à frissonner, à admirer, à craindre,... | |
| Paul Stapfer - 1895 - 422 pages
...un principe de vie. « Qu'est-ce que la sensibilité, s'écrie Diderot, qui s'y connaissait, sinon cette disposition compagne de la faiblesse des organes,...l'imagination, de la délicatesse des nerfs, qui incline à perdre la raison, à exagérer, à mépriser, à dédaigner, à n'avoir aucune idée précise du vrai,... | |
| |