 Voltaire ne jugeant pas, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annonçait d'une manière aussi peu brillante. Néanmoins, il soutint l'entretien avec politesse, et même quelquefois avec galanterie pour moi. On se mit à...  La comédie de société au XVIIIe siècle - Pagina 294door Victor Du Bled - 1893 - 326 pagina’sVolledige weergave - Over dit boek
 | Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1804 - 292 pagina’s
...ni avant, ni après le dîner, M. de Voltaire ne jugeant pas, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annonçait d'une manière...pendant tout le dîner, M. de Voltaire ne fut rien moins qu'aïrnable ; il eut toujours l'air d'être en colère contre ses gens, criant à tue-tête, avec... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1808 - 228 pagina’s
...Voltaire ne jugeant pae, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annonçoit d'une manière aussi peu brillante. Néanmoins, il...ai plusieurs fois tressailli ; la salle à manger est très-sonore, cf sa voix de tonnerre y retentissoit de la manière lapltiseffrayante. Onm'avoit... | |
 | Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 424 pagina’s
...Voltaire ne jugeant pas, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annoncoit d'une manière aussi peu brillante. Néanmoins il...j'en ai plusieurs fois tressailli. La salle à manger étoit très-sonore, et sa voix de tonnerre y retentissoit de la manière la plus effrayante. On m'avoit... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 420 pagina’s
...Voltaire ne jugeant pas, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annoncoit d'une . manière aussi peu brillante. Néanmoins il...dîner, M. de Voltaire ne fut rien moins qu'aimable. II eut toujours l'air d'être en colère contre ses gens, criant à tue-tête avec une telle force,... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 418 pagina’s
...personne qui s'annonçoit d'uite manière aussi peu brillante. Néanmoins il soutint l'en* tretien avec politesse et même quelquefois avec galanterie...pendant tout le dîner, M. de Voltaire ne fut rien moins qu'ai^ mable. H eut toujours l'air d'être en colère contre ses gens, criant à tue-tête avec une... | |
 | 1826 - 934 pagina’s
...mécontent de soi, ou même de sa toilette, on est difficile à contenter. Aussi, allons-nous voir que, pendant tout le dîner , M. de Voltaire ne fut rien...toujours l'air d'être en colère contre ses gens, criant avec une telle force que la salle à manger, qui était très-sonore, retentissait d'une manière effrayante.... | |
 | 1826 - 916 pagina’s
...mécontent de soi, ou même de sa toilette, on est difficile a contenter. Aussi, allons-nous voirque, pendant tout le dîner, M. de Voltaire ne fut rien moins qu'aimable. «• II eut toujours l'ait d'être en colère contre ses gens, criant avec une telle force que la... | |
 | 1878 - 490 pagina’s
...ni avant ni après le dîner, M. de Voltaire ne jugeant pas, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annonçait d'une manière...dîner, M. de Voltaire ne fut rien moins qu'aimable. 11 eut toujours l'air d'être en colère contre ses gens , criant à tue-tête, avec une telle force... | |
 | 1878 - 488 pagina’s
...conversation dût intéresser une personne qui s'annonçait d'une manière aussi peu brillante. INéanmoins il soutint l'entretien avec politesse et même quelquefois...rien moins qu'aimable. Il eut toujours l'air d'être eu colère contre ses gens , criant à tue-tête, avec une telle force qu'involontairement j'en ai... | |
 | Grafigny (Mme de, Françoise d'Issembourg d'Happoncourt) - 1879 - 572 pagina’s
...ni avant, ni après le dîner; M. de Voltaire ne jugeant pas, je crois, que cette conversation dût intéresser une personne qui s'annonçait d'une manière...ai plusieurs fois tressailli ; la salle à manger est très sonore, et sa voix de tonnerre y retentissait de la manière la plus effrayante. On m'avait... | |
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