Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français depuis les temps les plus reculés jusques et compris la Bataille de Navarin, Volume 4Charles Theodore Beauvais de Preau C.L.F. Panckoucke, 1817 |
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Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français ... Volledige weergave - 1817 |
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Allemagne Anglais armées armées des Alpes armes attaque Autrichiens avaient avant-postes baïonnette Bascara bataillon batteries blocus de Mayence braves Bretagne çais camp cavalerie cents hommes Championnet Charette chargé chouans colonne combat comité de salut commandement comte Convention conventionnels Cormatin corps d'artillerie d'Hervilly d'Urdingen débarquement défense devait diriger division du général Dusseldorf émigrés ennemis Espagne Espagnols Fluvia forces forêt du Pertre Fran française gauche général de brigade général en chef général Garnier général Hatry général Lefebvre général Michaud gouvernement grenadiers guerre hauteurs Hoche Hollande Jourdan Kléber l'adjudant-général l'armée d'Italie l'armée de Sambre-et-Meuse l'attaque l'ennemi ligne long-temps Melogno ment mille hommes occupait officiers opérations ordres du général paix passer Pérignon Pichegru pièces de canon Piémontais porter position poste pouvait premier prince prisonniers Prusse Puisaye Quiberon répu républicains république reste retraite retranchemens Rhin rive royalistes s'emparer s'était salut public Schérer soldats Sombreuil Stofflet succès tion tout-à-coup troupes trouvait Urdingen Urrutia Vendéens village
Populaire passages
Pagina 41 - sont ces hommes qui ont rendu l'Océan té,, moin de leurs crimes, qui ont rougi la mer » par le reflux ensanglanté de la Loire; le...
Pagina 42 - Depuis deux ans v.os contrées sont en proie aux horreurs de la guerre. Ces climats fertiles, que la nature semblait avoir destinés pour être le séjour du bonheur, sont devenus des lieux de proscription et de carnage ; le courage des...
Pagina 42 - Le courage des enfants de la patrie s'est tourné contre elle-même; la flamme a dévoré vos habitations, et la terre, couverte de ruines et de cyprès, refuse à ceux qui survivent les subsistances dont elle était prodigue. « Telles sont les plaies douloureuses qu'ont faites à la patrie l'orgueil et l'imposture.
Pagina 329 - IV (26 octobre 17g5); le président de la convention prononça ces mots : « La convention nationale déclare que « sa mission est remplie, et que sa session est
Pagina 43 - Nationale vous pardonne en son nom, si vous posez les armes, si le repentir, si l'amitié sincère vous ramènent à lui : sa parole est sacrée ; et si d'infidèles délégués ont abusé de sa confiance et de la vôtre, il en sera fait justice.
Pagina 239 - France, par ce traité, abandonnait toutes ses conquêtes , et que l'Espagne lui cédait toute la partie de Saint-Domingue qui lui appartenait. Autant les Espagnols s'étaient défendus au milieu du péril de laisser voir le besoin de la paix , autant témoignèrent-ils d'allégresse après avoir obtenu une paix qui n'offensait point leur orgueil , et qui rappelait à peine combien la guerre leur avait été funeste. La cour de Madrid...
Pagina 140 - Pieds-Noirs, effrayés d'une audace qui tenait du prodige,, se virent contraints de battre en retraite , abandonnant sur le champ de bataille un grand nombre de morts et de blessés...
Pagina 307 - ... par les mesures prises pour le détourner. On ne voyait de toutes parts que des agens de la convention qui tentaient, par des prodigalités sans bornes, l'avarice des fermiers, et satisfaisaient leur propre cupidité. Paris qu'on avait voulu exempter du fléau commun à tous les départemens , fut réduit aux extrémités d'une ville assiégée : pendant plusieurs jours , chaque habitant ne reçut que deux onces d'un pain noir. Au milieu des cris de souffrance du peuple, quand la convention avait...
Pagina 43 - Oh! que de sang répandu pour quelques hommes qui voulaient dominer ! et vous qu'ils ont entraînés, pourquoi faut-il que vous ayez préféré des maîtres à des frères et les torches du fanatisme au flambeau de la raison? « Que vos yeux se dessillent enfin ! n'est-il pas temps de mettre un terme à toutes ces calamités ? Il vous reste un asile dans la générosité nationale.
Pagina 146 - Les troupes de la République française qui ont fait la conquête de Luxembourg, et l'armée de la Moselle qui l'avait préparée, n'ont cessé de bien mériter de la patrie . . .