Et quelle plus jolie invention pour satisfaire tous les goûts de la femme, toutes ses vanités, mettre en lumière toutes ses grâces, en activité toutes ses coquetteries ? Pour quelques-unes, le théâtre était une vocation : il y avait en effet des... La femme au dix-huitième siècle - Page 117de Edmond de Goncourt, Jules de Goncourt - 1862 - 459 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Edmond Deschaumes - 1888 - 574 pages
...du prince de Ligne qui semble être datée d'au. jourd'hui : « Plus de dix de nos femmes du monde jouent et chantent mieux que ce que j'ai vu de mieux sur tous les théâtres. » Je n'écris pas à cette place pour faire l'apologie des femmes du monde qui se sont fait une célébrité... | |
| 1900 - 864 pages
...réussissait, et le prince de Ségur pouvait affirmer : « Plus de vingt de nos femmes du grand monde jouent et chantent mieux que ce que j'ai vu de mieux sur tous les théâtres. » Ces théâtres de société avaient leur réputation. On citait le théâtre de Monsieur, le théâtre... | |
| Gaston Capon, Robert Yve-Plessis - 1905 - 328 pages
...coquetteries? Pour quelquesunes le théâtre était une vocation : il y avait en effet des génies de nature, de grandes comédiennes et d'admirables chanteuses...dit le prince de Ligne, jouent et chantent mieux que tout ce que j'ai vu de mieux sur tous les théâtres » (i). Métra, dans sa correspondance quelque... | |
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