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OBSERVATOIRE ROYAL DE BRUXELLES.

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sur

NOTICE un forceps à articulation libre Inventé par

N. JULES CAROF, chevalier de la Légion d'honneur, docteur de la Faculté de médecine de Paris, inédecin et professeur d'accouchemnents à l'hôpital civil de Brest, département du Finistère (France).

Le forceps que j'ai l'honneur de présenter à la trèssavante Académie, ne diffère pas, à première vue, des forceps en usage. En effet, quand rien n'oblige à recourir au système particulier de son articulation, il peut étre appliqué absolument comme les autres. Dans tous les cas, l'emploi de son mécanisme reste facultatif et comme en réserve pour les circonstances exceptionnelles.

Les gravures qui suivent ont été faites d'après des photographies prises sur l'instrument même, et le représentent au quart de sa grandeur, sous quatre aspects différents.

(Fig. 1.)

Branches séparées et prètes à èire appliquées.

(Fig. 2.)

Forceps croisé.

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Forceps, les cuillers croisées. Les figures 5 et suivantes montrent les détails et l'assemblage des pièces de l'articulation. . L'instrument se compose, comme à l'ordinaire, de deux branches (fig. 1).

La cuiller de chaque branche est terminée du côté du manche, dont elle est indépendante, par une tige (fig. 6) de 5 centimètres de long, dont le (Fig. 6.) liers supérieur q est rond, le tiers moyen s carré, le tiers inférieur 1 muni d'un pas de vis.

Cette extrémité de la cuiller passe dans (Fig. 7.) une douille (fig. 7) qui porte sur le côté, pour la branche gauche, un pivot p; pour la branche droite (fig. 8) une demi-entablure o.

k L'articulation a lieu urellement par l'encas

2

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a

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(Fig. 8.) trement de ce pivot dans celle

demi-entablure (fig. 1, 2, 3, (4 et 5).

Cette douille (fig. 7), dont

le bord supérieur k est lisse, le bord inférieur n dentelé, est mobile autour de la partier (fig. 6), à laquelle elle est liée par un système à baïonnette représenté par les cannelures zz. (Fig. 9.) L'extréinité supérieure du manche (lig. 9)

est percée d'une mortaise i dans laquelle entre la partie carrée s de la lige (lig. 6). Sur les bords de cette mortaise, il y a deux ou

plusieurs dents dd qui s'engrènent dans les (Fig. 10). dentelures n de la douille (fig. 7). En des

sous de cette mortaise, un écrou (fig. 10) qiu, mit est maintenu aux manches par deux petits arrètoirs vv (fig. 5) (que porte celui-ci) et qui

(Fig. 5.

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glissent dans une rainure circulaire mm. Cet écrou tourne (Fig. 11.)

donc sur place, attirant à lui le pas de vis t (fig. 6) et poussant les dents dd (lig. 11) dans les dentelures n.

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