L'érudition universelle, ou Analyse abrégée de toutes les sciences, des beaux-arts et des belles-lettres, Volume 2Verlag nicht ermittelbar, 1768 |
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affez aftres ainfi angle auffi avoit befoin C'eft C'eft ainfi C'eſt calcul caufe céleftes cercle chofe claffe compofition conféquent confidere confifte connoiffance connoître corps deffus Dieu diftance diftingue divers divife doit effentielles efpeces efprit eft appellé eft compofé eft nommée enfeigne enfuite eſt Etats étoiles étoit fagacité fage fans fauroit favoir fcience fe meut fe trouve feconde felon fens fent feroit feule fiecle figne fimples fluide fociété foit foleil folide font fous fouvent fur-tout furface fyftême général globe grandeur humain idées infinité inftrumens jufqu'à jufte l'Aftronomie l'ame l'art l'eau l'Ecliptique l'efprit l'horizon lefquels ligne lumiere lune maniere Mathématiques matiere Médecine mefurer ment méridien Métaphyfique miroir n'eft Nations nature naturelle néceffaire Nicolas Copernic obfervations objets oppofés paffe paroît particuliere pefanteur pefe Philofophes Phyfique planete plufieurs Pneumatologie pofe poffible pôle politique prefque premiere principes puiffe raifon rayons reffort regles ſcience Simon Marius terre tion Trigonométrie troifieme vérité
Populaire passages
Pagina 201 - Patmofphere qui fe meut comme un courant avec une certaine vîteffe & avec une direction déterminée. Ce météore , eu égard à fa direction , prend différens noms felon les différens points de l'horizon d'où il vient...
Pagina 247 - Géométrie des indivifibles , & préluda parlà à ce qu'on vit arriver peu après. Dans cette Géométrie les plans font compofés d'une infinité de lignes, & les folides d'une infinité de plans. Il eft vrai qu'il n'ofoit pas plus prononcer le mot d'infini en Mathématiques , que Defcartes en Phyfique.
Pagina 82 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Pagina 153 - Auteur ^ed (i peu capable de démontrer par elle - même l'immortalité de l'Ame ,que la Religion a été obligée de la révéler.
Pagina 108 - SÇ d'employer non feulement ce qu'ils on| de bon , mais même de mauvais ou de défectueux en eux à notre utilité. Ce n'eft pas là une des moindres parties de la politique. §. V. Après ces confidérations générales la politique examine quels font les principaux états de la vie dans lefquels l'homme peut fe trouver, & où il a befoin d'employer une prudence ou politique particuliere.
Pagina 150 - Platon, difoient l'Ame corporelle & éternelle. Le Démon de Socrate lui avoit appris fans doute ce qui en étoit. Il ya des gens à la vérité qui prétendent qu'un homme qui fe vantoit d'avoir un Génie familier, étoit indubitablement un fou, ou un fripon; mais ces gens-là font trop difficiles.
Pagina 153 - Foi nous l'ordon,, ne ; il n'en faut pas d'avantage. Il n'en eft „ .pas de même de fa Nature; il importe peu à ,, la Religion de quelle fubftance foit l'Ame , ,, pourvu qu'elle fait vertireufe.
Pagina 107 - Les facultés ou les difpofitions naturelles de chaque homme en particulier pour atteindre ce but ; 3°, les moyens pour y parvenir ; 4°.
Pagina 269 - ... & fans courir les rifques de fe courber & de perdre fon équilibre. Ce que l'on nomme ordinairement Vis fans fin , eft une machine compofée d'une vis dont le cylindre ou noyau tourne toujours du même fens far des pivots qui terminent fes deux extrémités ; les filets de cette vis , qui font le plus fouvent quarrés , menent en tournant une roue verticale dont ils engrennent les dents. Cette roue porte à fon centre un rouleau avec une corde à laquelle on attache le fardeau qu'on veut élever...