 | Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1804 - 292 pagina’s
...rappelé tout ce qu'on m'a conté des personnes qui vont pour la première fois à Ferney. Il est à'usage (surtout pour les jeunes femmes) de s'émouvoir, de pâlir, de s'attendrir, et même en général, de se trouver mal en apercevant M. de Voltaire ; on se précipite dans ses bras, on balbutie,... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1808 - 228 pagina’s
...suis rappelé tout ce qu'on m'a conté des personnes qui vont pour la première fois à Ferney. Il est d'usage (surtout pour les jeunes femmes) de s'émouvoir, de pâlir, de s'attendrir, et même en général de se trouver mal en apercevant M. de Voltaire; on se précipite dans ses bras, on balbutie,... | |
 | 1826 - 934 pagina’s
...dit-elle, tout ce qu'on racontait des personnes qui allaient pour la première fois à Ferney. Il était d'usage, surtout pour les jeunes femmes, de s'émouvoir,...s'attendrir, et même de se trouver mal en apercevant M. de Vol1aire : on se précipitait daus ses bras, on balbutiait, on pleurait, on était dans un trouble... | |
 | 1826 - 916 pagina’s
...dit-elle, tout ce qu'on racontait des personnes qui allaient pour la première fois à Ferney. Il était d'usage, surtout pour les jeunes femmes, de s'émouvoir, de pâlir, de s'attendrir, et même Je ,te trouver mal en apercevant M. de. Voltaire : on se précipitait dans ses bras, on balbutiait,... | |
 | Gustave Desnoiresterres - 1876 - 612 pagina’s
...aura-t-elle? quelle sera sa contenance? Cela a été discuté à l'avance comme l'orthographe du billet. « Quand j'eus reçu la réponse aimable de M. de Voltaire,...trouble qui ressembloit à l'amour le plus passionné. » C'est là une petite malice à l'endroit de madame Suard, dont les lettres à son mari sur son voyage... | |
 | Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1876 - 556 pagina’s
...espèce de frayeur qui me fit faire des réflexions inquiétantes. Je me rappelai tout ce qu'on racontait des personnes qui alloient, pour la première fois,...trouble qui ressembloit à l'amour le plus passionné. » C'est là une petite malice à l'endroit de madame Suard, dont les lettres à son mari sur son voyage... | |
 | 1878 - 490 pagina’s
...rappelai tout ce qu'on racontait des personnes qui allaient pour la première fois à Ferney. Il était d'usage, surtout pour les jeunes femmes, de s'émouvoir,...se trouver mal en apercevant M. de Voltaire ; on se précipitait dans ses bras , on balbutiait, on pleurait, on était dans un trouble qui ressemblait... | |
 | 1878 - 488 pagina’s
...la première fois à Ferney. 11 était d'usage, surtout pour les jeunes femmes, de s'émouvoir, :le pâlir, de s'attendrir, et même de se trouver mal en apercevant M. de Voltaire ; on se précipitait dans ses bras , on balbutiait, on pleurait, on était dans un trouble qui ressemblait... | |
 | Grafigny (Mme de, Françoise d'Issembourg d'Happoncourt) - 1879 - 572 pagina’s
...suis rappelé tout ce qu'on m'a conté des personnes qui vont pour la première fois à Ferney. Il est d'usage (surtout pour les jeunes femmes) de s'émouvoir, de pâlir, de s'attendrir, et même en général de se trouver mal en apercevant M. de Voltaire1; on se précipite dans ses bras, on balbutie,... | |
 | Voltaire - 1883 - 638 pagina’s
...rappelé tout ce qu'on m'a conté des personnes qui vont pour la première fois à Ferney. Il est A'usage (surtout pour les jeunes femmes) de s'émouvoir, de pâlir, de s'attendrir, et même en général de se trouver mal en apercevant M. de Voltairei; on se précipite dans ses bras, on balbutie,... | |
| |
Ferney. 11 était d'usage, surtout pour les jeunes femmes, de s'émouvoir, de pâlir, de s'attendrir et même de se trouver mal en apercevant M. de Voltaire : on se précipitait dans ses bras, on balbutiait, on pleurait, on était dans un trouble qui... 
