Lodovico. Now here's another discontented paper, Roderigo meant to have sent this damned villain; Came in and satisfied him. Othello. Cassio. O thou pernicious caltiff! I found it in my chamber; And he himself confess'd, but even now, Othello. O fool! fool! fool! Cassio. There is, besides, in Roderigo's letter,- Iago set him on. Lodovico. You must forsake this room, and go with us: Your power and your command is taken off, And Cassio rules in Cyprus. For this slave, If there be any cunning cruelty, Lodovico. Maintenant voici une autre lettre pleine de reproches, également trouvée dans sa poche: Roderigo paraît avoir eu l'intention de l'envoyer à ce damné scélérat; mais Iago dans l'intervalle vint, semble-t-il, et réussit à l'apaiser. Othello. O pernicieux misérable! Comment ce inouchoir, qui appartenait à ma femme, se trouvait-il entre vos mains, Cassio? Cassio. Je l'avais trouvé dans ma chambre, et il a confessé lui-même, il n'y a qu'un instant, qu'il l'y avait déposé pour un projet spécial qui réussit au gré de son désir. Othello. O fou! fou! fou! Cassio. On voit, en outre, dans la lettre de Roderigo par les reproches qu'il lui adresse, que c'était lago qui l'avait poussé à m'insulter à la garde; de là vint ma disgrâce et il n'y a qu'un instant, après avoir longtemps paru mort, il a parlė; c'était lago qui l'avait poignardé, lago qui l'avait aposté. Lodovico. Il vous faut quitter cette chambre et venir avec nous; votre pouvoir et votre commandement vous sont enlevés, et Cassio gouverne dans Chypre. Quant à ce manant, s'il existe quelque That can torment him much, and hold him long. To the Venetian state : Othello. Soft you! a word or two, before you go. Nor set down aught in malice: then must you speak Of one, not easily jealous, but, being wrought, Richer than all his tribe; of one, whose subdu'd eyes, Drop tears as fast as the Arabian trees Their medicinable gum: Set you down this : cruauté raffinée qui puisse le faire souffrir beaucoup et longtemps, il n'y échappera pas. Vous resterez étroitement prisonnier, jusqu'à ce que la nature de votre faute soit connue de l'État de Venise. Allons, emmenez-le. Othello. Doucement! un mot ou deux avant que vous partiez. J'ai rendu à l'État quelques services, et ils le savent; assez là-dessus. Je vous en prie, lorsque dans vos lettres vous raconterez ces malheureux événements, parlez de moi tel que je suis; n'atténuez rien, mais n'ajoutez rien par malice si vous agissez ainsi, alors vous tracerez le portrait d'un homme qui n'aima pas avec sagesse, mais qui n'aima que trop bien; d'un homme qui ne fut pas aisément jaloux, mais qui une fois inquiet se laissa emporter jusqu'aux dernières extrémités; d'un homme dont la main, comme celle du vil Indien, rejeta une perle plus précieuse que toute sa tribu; d'un homme dont les yeux vaincus, bien que peu habitués à la mode des pleurs, versèrent des larmes avec autant d'abondance que les arbres d'Arabie leur gomme médicinale. Peignez-moi ainsi, et ajoutez qu'une fois dans Alep, où un malicieux Turc en turban battait un Vénitien that can torment him much, and hold him long, it shall be his : you shall rest close prisoner, till that the nature to the Venetian state : Soft you! Othello. a word or two, before you go. I have done the state some service, and they know it; I pray you, in your letters, then must you speak of one of one, not easily jealous, in the extreme; than all his tribe; of one, whose subdued eyes, albeit unused to the melting mood, qui peut tourmenter lui beaucoup, et tenir (laisser vivre) lui longtemps, elle sera la sienne : vous devez rester étroitement-gardé prisonnier, jusqu'à-ce que la nature de votre faute soit connue au vénitien État venez (allons), menez lui au-loin (emmenez-le). Othello. Doucement, vous! un mot ou deux, avant-que vous alliez (partiez). et ils savent (on sait) cela; parlez de moi comme je suis; ni inscrivez quelque-chose en (par) malice: alors devez vous parler d'un homme d'un homme, pas facilement jaloux, dans (à) l'extrême; d'un homme dont les subjugués yeux, quoique inaccoutumés à l'attendrissante disposition, laissent-tomber des larmes aussi vite que les d'Arabie arbres laissent tomber leur médicinale gomme: inscrivez, vous, ceci : et dites, en-outre, que dans Alep un-jour où un méchant et un coiffé-du-turban Turc battait un Vénétien, et dénigrait l'État All that is spoke is marr'd. Othello. I kiss'd thee, ere I kill'd thee; No way but this, Killing myself to die upon a kiss. (He falls upon Desdemona and dies.) Cassio. This did I fear, but thought he had no weapon; For he was great of heart. Lodovico (to lago). O Spartan dog! This is thy work the object poisons sight; And seize upon the fortunes of the Moor, For they succeed on you. To you, lord governor, The time, the place, the torture, O enforce it! (Exeunt.) et insultait l'Etat, je saisis à la gorge le chien circoncis, et je le frappai..... ainsi. (Il se poignarde.) Lodovico. O dénouement sanglant! Gratiano. Toutes les mesures dont nous parlions sont mises à néant. Othello. Je t'embrassai avant de te tuer; en me tuant, je n'ai que ce moyen de mourir sur un baiser. (Il tombe sur Desdemona et meurt.) Cassio. Je redoutais cela, mais je croyais qu'il n'avait pas d'armes; car il avait un grand cœur. - Lodovico (à lago). O chien de Sparte plus cruel que la souffrance, la faim ou la mer! Regarde le tragique fardeau qui pèse sur ce lit; c'est ton œuvre. Ce spectacle empoisonne la vue; voilez-le. Gratiano, gardez la maison, et saisissez la fortune du Maure, car vous en héritez. A vous, seigneur gouverneur, revient le jugement de cet infernal scélérat fixez le temps, le lieu, la torture; appliquez-la à outrance! Je vais moi-même m'embarquer sur-le-champ et porter à l'État avec un cœur douloureux le récit de cet événement douloureux. (Ils sortent.) : oh, FIN. |