Mémoires du Muséum d'histoire naturelle, Volume 13

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Pagina 188 - Edwards , que nous nous empressons de mettre sous les yeux de nos lecteurs les résultats que cet habile observateur a bien voulu nous communiquer : c'est par là que nous finirons ce Mémoire.
Pagina 411 - Tigre est-il plus à craindre que le lion : celui-ci souvent oublie qu'il est le roi, c'est-à-dire le plus fort de tous les animaux; marchant d'un pas tranquille, il n'attaque jamais l'homme, à moins qu'il ne soit provoqué; il ne précipite ses pas, il ne court, il ne chasse que quand la faim le presse.
Pagina 411 - ... embûches ; il saisit et déchire une nouvelle proie avec la même rage qu'il vient d'exercer, et non pas d'assouvir, en dévorant la première; il désole le pays qu'il habite, il ne craint ni l'aspect ni les armes de...
Pagina 395 - Plasson. 1798. — Discours d'ouverture et de clôture du cours d'histoire naturelle donné dans le Muséum l'an 6 . 1799.
Pagina 392 - L'Histoire naturelle des Poissons fut suivie, en 1804, de celle des Cétacées(1), qui termine le grand ensemble des aui maux-, vertébrés. M. de Lacépède la regardoit comme le plus achevé de ses ouvrages; et en effet il ya mieux fondu que dans aucun autre la partie descriptive et historique, celle de l'organisation, et les caractères méthodiques. Son style s'y est élevé en quelque sorte à proportion de la grandeur des objets : il...
Pagina 396 - Déjà l'on n'est pas soi-même quand on parle au nom d'un corps qui vous dicte les sentimens que vous devez exprimer et les termes dont vous devez vous servir; et lorsque ce corps n'est libre dans le choix ni des uns ni des autres tout vestige de personnalité a disparu. Mais ceux qui, en de telles circonstances, ont eu le bonheur de conserver leur obscurité, devraient penser qu'il ya quelque chose d'injuste à reprocher à l'organe d'une compagnie les paroles et les actes que la compagnie lui...
Pagina 301 - ... d'en partager les dangers et d'y consacrer une partie de sa fortune. Il n'épargna rien pour en assurer la réussite , en ce qui le concernait. Une grande provision d'objets utiles aux peuples qu'il allait visiter fut rassemblée à ses frais; il fit placer sur le vaisseau tous les appareils nécessaires aux observations de physique et à la conservation des objets naturels ; il engagea un élève distingué de...
Pagina 373 - C'était, on le croira volontiers plus d'encouragement qu'il n'en fallait pour exalter un homme de vingt ans. Plein d'espérance et de feu, il accourt à Paris avec ses partitions et ses registres d'expériences; il y arrive dans la nuit, et le matin de bonne heure il est au Jardin du Roi. Buffon, le voyant si jeune, fait semblant de croire qu'il-est le fils de celui qui lui avait écrit ; il le comble d'éloges.
Pagina 383 - ... leurs victimes. Un jour M. de Lacépède vit dans un journal son nom en tête d'un article intitulé : Liste des scélérats qui votent contre le peuple, et le journaliste était un homme qui venait souvent dîner chez lui : il y vint après sa liste comme auparavant. « Vous « m' avez traité bien durement, lui dit avec douceur son
Pagina 318 - ... partageait ses occupations rurales; il lui faisait connaître les productions intéressantes des pays éloignés, et entretenait ainsi en lui ce goût pour la nature, qui avait déjà valu aux sciences tant d'acquisitions, et qui leur en valut davantage à mesure que l'exemple du prince fut imité par les grands. C'est ainsi que , pendant trente ans, l'Angleterre a été en quelque sorte le centre de la botanique et le marché des plantes et des arbustes nou-

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