| Nicolas Toussaint Le Moyne des Essarts - 1796 - 502 pagina’s
...d'admiiution et de stupeur. Sa conversation étoit sérieuse saus être froi'le ; elle s'exprimoit avec une pureté, un- nombre et une prosodie qui faisaient de son hm.^a£e une espère de musique dont l'oreille néioit jamais rassasiée. Elle' ne parloit jamais des.... | |
| Marguerite Ursule Fortunée Briquet - 1804 - 392 pagina’s
...douce et la plus généreuse. Ordinairement sa conversation était sérieuse sans être froide , et elle s'exprimait avec une pureté , un nombre et une...musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Pour la perdre , on l'accusa de ce qui fait peut-être le plus d'honneur à sa mémoire. Sa correspondance... | |
| Fortunée Bernier Briquet - 1804 - 398 pagina’s
...douce et la plus généreuse. Ordinairement sa conversation. était sérieuse sans être froide , et elle s'exprimait avec une pureté , un nombre et une...musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Pour la perdre , on l'accusa de ce qui fait peut-être le plu» d'honneur à sa mémoire. Sa correspondance... | |
| Fortunée Bernier Briquet - 1804 - 396 pagina’s
...douce et la plus généreuse. Ordinairement sa conversation était sérieuse sans être froide , et elle s'exprimait avec une pureté , un nombre et une...musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Pour la perdre , on l'accusa de ce qui fait peut-être le plus - d'honneur à sa mémoire. Sa correspondance... | |
| French revolution, 1789 - 1820 - 520 pagina’s
...l'échafaud , était un mi» racle de la révolution , auquel on n'était pas encore ac» coutume. Nous étions tous attentifs autour d'elle , dans »...musique dont l'oreille » n'était jamais rassasiée j elle ne parlait jamais des dépu» tés qui venaient de périr , qu'avec respect , mais sans » pitié... | |
| Madame Roland - 1821 - 460 pagina’s
...miracle de la révolution, auquel on » n'était pas encore accoutumé. Nous étions tous atten» tifs autour d'elle , dans une espèce d'admiration et de...jamais rassasiée ; elle ne » parlait jamais des députés qui venaient de périr, qu'a» vec respect , mais sans pitié efléminée , et leur repro»... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 458 pagina’s
...miracle de la révolution , auquel on » n'était pas encore accoutumé. Nous étions tous atten» tifs autour d'elle , dans une espèce d'admiration et de...être froide ; » elle s'exprimait avec une pureté, uu nombre et une » prosodie qui faisaient de son langage une espèce de » musique dont l'oreille... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 320 pagina’s
...préparait l'échafaud, était un des miracles de la révolution auquel on n'était point encore accoutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle dans une...n'était jamais rassasiée. Elle ne parlait jamais des députés qui venaient de périr, qu'avec respect , mais sans pitié efféminée , et leur reprochant... | |
| Honoré-Jean Riouffe - 1823 - 332 pagina’s
...révolution auquel on n'était point encore accoutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle dans Hue espèce d'admiration et de stupeur. Sa conversation...n'était jamais rassasiée. Elle ne parlait jamais des députés qui venaient de périr, qu'avec respect, mais sans pitié efféminée, et leur reprochant... | |
| Honoré-Jean Riouffe - 1823 - 348 pagina’s
...préparait l'échafaud, était un des miracles de la révolution auquel on n'était point encore accoutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle dans une...conversation était sérieuse sans être froide; elle s'exprima! I avec une pureté, un nombre et une prosodie, qui faisaient de son langage une espèce... | |
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